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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 18:25

Espace analytique

 

Association de Formation Psychanalytique et de Recherches Freudiennes

Journées d’études

27 et 28 novembre 2010

Maison des Cultures du Monde 101 boulevard Raspail 75006 Paris

QUEL HOMME

Comité d’organisation :Marielle DAVID, Patrick LANDMAN, Jean-Jacques MOSCOVITZ, Claude-Noële PICKMANN, Dominique TOURRÈS-GOBERT

Renseignements :Centre Octave et Maud Mannoni 12 rue de Bourgogne 75007 Paris Tél. : 01 47 05 23 09 espace.analytique@wanadoo.fr www.espace-analytique.org

 

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P

ROCHAINES JOURNÉES D'ETUDES

d'Espace analytique

 

 

 

  

 

 

 

LES PSYCHOSES

 

 

19 et 20 mars 2011

Faculté de Médecine - Amphi Binet 45 rue des Saints-Pères 75006 Paris

 

Organisées par Jean-Claude AGUERRE, Arlette COSTECALDE, Marielle DAVID, Patrick LANDMAN, Gorana MANENTI, Gérard POMMIER, Eduardo PRADO DE OLIVEIRA, Dominique TOURRÈS-GOBERT

Une brochure présentant les enseignements et les activités d’Espace analytique pour l'année 2010/2011 est disponible au Centre Octave et Maud Mannoni. Des informations supplémentaires sont données dans le Courrier interne.

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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 17:45

PARIS, 13 sept 2010 (AFP)

- Le ministre de l'Immigration, Eric Besson, a assuré lundi tout ignorer de la circulaire du ministère de l'Intérieur demandant explicitement le démantèlement des camps de Roms, valant à Paris de nouvelles critiques à l'étranger et des menaces d'ONG de recours en justice.
   "Je ne connaissais pas cette circulaire", a affirmé M. Besson lors d'une conférence de presse, alors qu'il avait été envoyé récemment à Bruxelles et à Bucarest pour défendre la politique gouvernementale respectueuse, selon lui, de "la loi républicaine" et du droit "communautaire".
   M. Besson, ancien socialiste, s'est attiré une cinglante réponse du porte-parole du PS, Benoît Hamon, l'accusant de "rajouter à l'indignité de sa politique celle de son comportement".
   Dans une circulaire du 5 août adressée aux préfets, le directeur de cabinet du ministre de l'Intérieur, Michel Bart, rappelait les "objectifs précis" fixés fin juillet par le président de la République: "300 campements ou implantations illicites devront avoir été évacués d'ici trois mois, en priorité ceux des Roms".
   Lundi, la Commission européenne a répété qu'aucune catégorie de population ne pouvait être visée en Europe du fait de son origine ethnique, se  refusant dans l'immédiat à juger sur le fond cette circulaire.
   A Genève, la Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, Navi Pillay, a qualifié de "préoccupante" la "nouvelle politique" de Paris envers les Roms "qui ne peut qu'exacerber leur "stigmatisation" et leur "extrême pauvreté".
   Les associations de défense des immigrés sont vent debout contre cette circulaire, un texte que le secrétaire général de l'UMP, Xavier Bertrand, a dit assumer "tout à fait" parce que "c'est la traduction de notre politique".
   Le Gisti (Groupe d'information et de soutien des immigrés) et le Cran (Conseil représentatif des associations noires) préparent un recours en annulation devant le Conseil d'Etat. Le Gisti "examine" ce document pour voir "s'il constitue une infraction pénale".
   "Cette circulaire est la traduction (réglementaire) du discours politique du président Nicolas Sarkozy, le premier à désigner expressément les Roms", a accusé le président de l'association, Stéphane Maugendre.
   Le chef de l'Etat avait organisé le 28 juillet une réunion à l'Elysée sur les "problèmes que posent les comportements de certains parmi les gens du voyage et les Roms".
   Le Cran, qui demande le "retrait immédiat" du texte du 5 août, a dit craindre qu'"une prochaine circulaire cible les "Français d'origine étrangère" qui ont eux aussi été stigmatisés dans le discours du 30 juillet" de Nicolas Sarkozy à Grenoble.
   Le numéro deux du PS, Harlem Désir, a demandé à la Commission européenne et
à son président José Manuel Barroso "d'engager une procédure d'infraction à l'encontre du gouvernement français pour que cessent le traitement  indigne et
la stigmatisation inacceptable des citoyens européens que sont les Roms".
   Pour le président du Mouvement Démocrate (MoDem) François Bayrou, "l'Etat
en France ne respecte plus le minimum d'équilibre qu'on est en droit d'attendre" dans une République.
   Ces directives faisaient suite à une première circulaire du 24 juin, soit avant les violences de Saint-Aignan (Loiret), la réunion du 28 juillet et le discours de Grenoble. Le texte rappelait aux préfets l'arsenal juridique pour démanteler les camps illicites et expulser leurs occupants en situation irrégulière.
   "C'est la seule circulaire valable", a affirmé M. Besson sans dire explicitement qu'il ne reconnaissait pas celle du 5 août.
   ao/nr/jmg


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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 16:55

LA HAVANE, 13 sept 2010 (AFP)

- L'ancien président cubain Fidel Castro affirme dans un article publié lundi que les expulsions de Roms de France montrent que le président français Nicolas Sarkozy est en train de devenir "fou", et s'inquiète de sa puissance nucléaire.
   Fidel Castro rappelle "que la France est la troisième puissance nucléaire de la planète" et affirme que "Sarkozy a aussi une mallette avec les codes pour lancer une des plus de 300 bombes qu'il possède".
   "Supposons que Sarkozy devienne soudain fou, comme il semble que cela est en train de se passer. Que ferait dans ce cas le Conseil de sécurité des Nations unies, avec Sarkozy et sa mallette?", se demande le leader de la révolution cubaine dans l'île communiste.
   Sarkozy a récemment ordonné le renvoi de Roms de France vers la Roumanie et
la Bulgarie, ce que le reste de l'Europe a condamné.
   "Est-ce que cela a un sens moral et éthique de lancer une attaque contre l'Iran, qu'ils condamnent pour son intention présumée de fabriquer une arme de ce type? Où est la sagesse et la logique de cette politique?", demande le dirigeant cubain, qui agite depuis plusieurs mois la menace d'une guerre nucléaire en cas d'attaque contre l'Iran.
   "Que se passera-t-il si l'extrême-droite française décide d'obliger Sarkozy à appliquer une politique raciste en contradiction avec les normes de la Communauté européenne". "Le Conseil de sécurité pourrait-il répondre à ces deux questions?"
Vendredi, Fidel Castro, 84 ans, avait estimé que les Roms expulsés de France étaient victimes d'une "espèce d'holocauste racial", ce que Paris avait jugé "inacceptable".
   "Cette utilisation de l'holocauste par M. Castro montre son  ignorance de l'histoire et son mépris des victimes. De tels propos sont inacceptables", a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Bernard Valero en marge d'une réunion des chefs de la diplomatie de l'UE à Bruxelles.
   "Que M. Fidel Castro s'intéresse enfin aux droits de l'Homme, ça c'est vraiment révolutionnaire", a-t-il ajouté.
   rd-mis/mdr/ca

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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 23:10

Chrono bilbalistique- STEVE BIKO NOTRE CONSCIENCE

par Mouhamadou Kaaw Touré, dimanche 12 septembre 2010, à 23:09

 

 En ce 12 septembre jour pour jour, il y a de cela des années, c´était en 1977 que quittait ce monde un des plus célèbres et héros incontestés de la lutte anti-apartheïd, son nom seul suffit pour éveiller notre conscience. Il était jeune et courageux et avait à peine 30 ans. Arrêté par la police, torturé il a été transféré inconscient depuis la prison de Port Elisabeth, à 1000km de là, à bord d´une voiture de la police, pour rendre l´âme loin de son peuple qu´il aimait tant.

 

 

 

Les grandes douleurs sont muettes. Et celle que ravive le souvenir de la mort de Steve Biko le fondateur du Mouvement sud-africain de la CONSCIENCE NOIRE dont la vie a inspiré le film "CRY FREEDOM" de Richard Attenborough, est si forte qu´elle laisse sans voix encore. Rien ne pourra être dit qui vaille la peine d´être proférée. L´indignation, la colére, l´émoi et la peine ne ressusciteront pas notre idole Steve encore moins les martyrs de la vallée, de Oualata, Inal, Djreïda, N´beyka, Azlat. Il est mort certes mais il est vivant à jamais dans la conscience.....noire dont il a été le théoricien.

 

La force de conviction, l´art de persuasion de Denzel Washington dans "CRY FREEDOM"de Richard Attenborough avait montré à nous autres la profondeur et l´intérêt d´une pensée qui voulait forger une conscience de lutte propre aux noirs à l´exclusion des blancs. On a pu l´accuser de militer pour un racisme anti-blanc primaire. Bien des aspects des discours de Steve Biko le laissaient paraitre mais c´est faire preuve de légérété que de confiner la conscience noire à cette apparence, comme le soulignait un ami journaliste africain.

 

L´idée que des noirs devaient forger leur propre histoire, leurs propres méthodes de lutte en excluant toute collaboration avec les blancs, fussent-ils contre l´apartheïd eux aussi, était important dans la mesure elle s´adressait d´abord à l´homme sud-africain en tant qu´être pensant.

Steve Biko voulait faire comprendre que la lutte anti-apartheid n´aboutirait pas entièrement tant que les noirs à titre individuel n´avaient pas fait la révolution de leur propre être. Tant qu´ils ne s´étaient pas libérés des chaines de l´esclavage psychologique forgé par des générations d´histoires falsifiées et tronquées. Il disait par là que la libération du peuple n´équivalait pas simplement à changer les lois ségrégationnistes mais aussi à reconstruire l´homme noir, la personnalité noire dotée d´autonomie. C´est parvenu seulement à ce stade qu´il pourrait se poser non comme un homme noir face au blanc mais comme un homme tout court. Je crois que ce message est valable aussi pour les  Négro-mauritaniens et plus particuliérement pour nos frères et soeurs Haratines.

La théorie de la conscience noire était ainsi incomprise que séduisante. Et le hasard heureux qui fait qu´à l´écran le même personnage de Denzel Washington incarne Steve Biko que Malxom X ajoute à notre conviction qu´il y allait dans les deux cas d´autres choses que le racisme anti-blanc: il s´agissait simplement de se forger une identité qui soit nôtre, qui soit noire.

Les souvenirs de Steve "Sammba wuro e ladde", nous reste encore quand nous écoutons Peter Gabriel. Il nous est revenu à la mémoire, encore plus douloureux, quand des policiers blancs sud-africains s´accusaient entre eux de sa mort devant le TRC, commission vérité et réconciliation. Et là tentative était grande de demander vengeance plutôt que justice. Le réfléxe est légitime. C´est cependant le trahir que de nous abaisser à cela. S´il se trouvait quelque part et nous regardait, il voudrait sans doute que nous nous montrions plus forts et plus dignes. La vengeance ne le fera pas revenir. Et les meurtriers semblent avoir eu assez de remords pour enfin posséder une.....conscience. La leur!

 

"Steve Biko seede amen", chantait hier notre camarade et non moins poète Ibra Mifo Sow pendant nos veillées villageoises avant les années de braise. Steve "Biko bikkitinooDo e geYYelle maccungaagu" avait repliqué un autre poète pulaar. Steve notre vaillante conscience.

 

 En Mauritanie on attend toujours les aveux de nos ex-tortionnaires et déporteurs, s´ils en ont encore une certaine conscience...

 

 

 

 

La lutte continue.

 

 

 

N.B: C´est pour rendre hommage à Steve Biko que j´ai donné le surnom de mon fils à ce grand militant anti-apartheid.

 

 

Steve Biko
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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 22:29

La Lettre ouverte des 7 confédérations

Au Président, au gouvernement et aux parlementaires

jeudi 9 septembre 2010, par Pascal

 

Les Secrétaires généraux des 7 confédérations : CGT, CFDT, CFTC, CFE-CGC, UNSA, FSU et Solidaires ont adressé une Lettre ouverte au Président de la République, Premier Ministre, aux membres du gouvernement, aux députés et sénateurs.

 

 

Les salariés se sont mobilisés dans des proportions exceptionnelles le 7 septembre 2010 à l’appel des organisations syndicales. Le caractère injuste et inefficace de la réforme des retraites à l’examen en ce moment au parlement malgré nos protestations est à l’origine du conflit en cours. Cette réforme va aggraver les inégalités sans répondre aux enjeux de long terme. La méthode utilisée qui a consisté pour l’essentiel à recevoir les syndicats sans jamais réellement les entendre a contribué à accroître les tensions.

Les annonces du 8 septembre 2010 qui se veulent une réponse aux mobilisations ne modifient pas la logique globale de la réforme proposée. Les injustices demeurent. Le calendrier précipité ne permet pas d’être entendus.

Le recul de l’âge d’ouverture du droit à la retraite de 60 ans à 62 ans, combiné à l’augmentation simultanée de la durée de cotisation, va fortement pénaliser les salariés, et plus particulièrement tous ceux qui ont commencé à travailler jeunes, qui seront amenés à contribuer plus que les autres au financement du système sans acquérir le moindre droit supplémentaire.

Le recul de l’âge du taux plein de 65 ans à 67 ans va durement aggraver la situation des salariés qui ont eu des parcours professionnels morcelés, en particulier les femmes dont près de 30% font valoir aujourd’hui leurs droits à la retraite à 65 ans pour éviter une pénalité sur leur pension et ceux qui sont conduits à entrer tardivement sur le marché du travail.

Ce report des âges légaux va entraîner un prolongement du chômage pour les nombreux salariés qui ne sont plus en activité lorsqu’ils partent à la retraite ce qui les pénalisera financièrement tout en reportant les charges financières sur d’autres comptes sociaux.

La pénibilité du travail n’est pas reconnue dans ses conséquences sur l’espérance de vie des salariés qui y ont été exposés.

Les fonctionnaires se voient imposer une hausse drastique du taux de leur cotisation, en période de gel des salaires, conduisant à une baisse importante et injuste de leur pouvoir d’achat.

Au total, le projet de loi de réforme des retraites fait reposer l’essentiel de l’effort sur les salariés, ne répond ni aux questions d’emploi, en particulier des jeunes et des seniors, ni à la résorption des inégalités ni au besoin de financement. Les salariés devraient accepter de payer la facture de la crise financière et économique dont ils ne sont pas responsables. Cette réforme est donc inacceptable.

Pour toutes ces raisons, au nom des salariés nous vous demandons solennellement d’entendre le point de vue des organisations syndicales dans la perspective de définir un ensemble de mesures justes et efficaces pour assurer la pérennité du système de retraites par répartition.

Dans ce contexte le vote de ce projet dans sa logique actuelle n’est pas d’actualité.

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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 22:25

AFP - 12/09/2010 à 22:04

Mort de Claude Chabrol, cinéaste novateur et chroniqueur ironique de la bourgeoisie

Claude Chabrol, un des créateurs de la Nouvelle Vague et satiriste inlassable de la bourgeoisie, est mort dimanche après avoir donné au cinéma français certains de ses plus grands films des 50 dernières années.

 
Photographe : Axel Schmidt :: Le réalisateur Claude Chabrol reçoit la Caméra de la Berlinale pour l'ensemble de sa carrière, le 8 février 2009. photo : Axel Schmidt, AFP

Selon son entourage, il serait décédé à l'hôpital parisien de l'Hôtel Dieu, mais ni la direction de l'Assistance publique des Hôpitaux de Paris, ni la direction de l'établissement n'a été en mesure de confirmer l'information.

Fin août il avait dû décliner une invitation aux Rencontres cinématographiques de Cavaillon. Selon le site du quotidien laprovence.fr, "Claude Chabrol, qui tenait pourtant "absolument à participer" a ce "discret évènement" consacré au cinéma avait été contraint d'annuler sa venue. Cloué au lit à l'époque par une violente cruralgie, le cinéaste, avait même dû être hospitalisé à Paris, selon le même site.

Amoureux de cuisine, de personnages "monstrueux" et de littérature, il symbolise un cinéma "à la française", à la fois psychologique et social, le plus souvent réalisé sur un ton sarcastique.

"Son oeuvre prolixe et empreinte d'ironie, dissèque sans concession, souvent avec crudité et férocité, les bassesses et les abjections de l'âme humaine, mais aussi le désespoir des êtres happés par la fatalité et emprisonnés dans des jeux de pouvoir", a dit de lui Véronique Cayla, présidente du Centre national du cinéma (CNC).

Chabrol a dépeint avec délectation les travers des notables de province, usant d'une cruauté ironique pour décrire scandales étouffés ou secrets de famille. Ces hypocrisies, destinées à préserver une respectabilité de façade, visiblement l'exaspéraient.

Pour le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, Chabrol était un "analyste subtil, drôle et féroce (...) doué d'un regard à la fois malicieux et foudroyant, il était l'anticonformiste par excellence, un maître de l'ironie".

"Nul mieux que lui a su, sur un mode décapant et parfois féroce, mettre en scène l'hypocrisie et la veulerie d'une certaine bourgeoisie", a réagi un de ses prédécesseurs, Jack Lang, à l'annonce de sa disparition.

Fin des années 50, avec Jean-Luc Godard et François Truffaut, il a créé la Nouvelle Vague.

"Le Beau Serge" est son premier film et le premier film de quelque importance de la Nouvelle Vague, sorti en 1959, juste avant "A bout de souffle" de Godard. Des décennies plus tard, Chabrol jugera son film (l'histoire de deux amis d'enfance aux destins différents) "insupportable".

Pour Claude Lelouch, "Chabrol représente à la fois une révolution et une tradition. Un fois consacré, il est revenu à un cinéma de tradition et c'est tout à son honneur".

Ce sont d'ailleurs souvent les femmes qui ont été les véritables héroïnes de ses films.

Avec "Violette Nozière" (1978), l'empoisonneuse parricide des années 30, il contribuera à révéler le talent de l'actrice Isabelle Huppert. Claude Chabrol lui confiera le rôle principal dans cinq autres films, dont "Une Affaire de femmes" (1988), "La Cérémonie" (1995) et "Merci pour le chocolat" (2000).

"De film en film j'étais devenue une sorte de double de lui, de sa pensée, de ce qu'il avait envie d'exprimer", a-t-elle dit en lui rendant hommage.

Il a partagé sa vie plus de quinze ans avec une de ses comédiennes favorites, Stéphane Audran, de 1964 à 1980. Elle a tourné dans une vingtaine de ses films et lui a inspiré certains de ses plus beaux personnages (Les Biches, La femme infidèle, Le boucher, Betty, etc.).

Chabrol, chez qui Nicolas Sarkozy voyait "de la truculence" et "du Rabelais", affirmait: "La différence entre le gourmet et le gourmand me fait bien rigoler, il faut savoir être les deux!".

Pour lui, "Manger et travailler bien, c'était la même chose".

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9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 17:09

Le 9 septembre à 14 H. devant la Cour d’Appel d’Aix en Provence : Rassemblement pour Hakim Ajimi

Comité de soutien Vérité et Justice pour Hakim

 

Non lieu scandaleux : Vérité et Justice pour HAKIM !

 

Rassemblement jeudi 9 septembre à 14 H. devant la Cour d’Appel d’Aix en Provence.

Après deux ans de procédure judiciaire, pourquoi les juges d’instruction du tribunal correctionnel de Grasse concluent-elles l’information judiciaire par un non-lieu favorable aux deux agents de la Brigade Anti Criminalité (BAC) responsables de la mort de Hakim AJIMI ? Alors que, parallèlement, des agents de la police nationale et de la police municipale sont mis en examen, les agents de la BAC jouissent-ils d’un statut particulier ?

Il y a deux ans déjà, le 9 mai 2008 à Grasse, en plein jour, en plein centre-ville, Hakim AJIMI est mort, suite à son interpellation par la police. Interpellé dans la rue, Hakim n’est ni armé, ni dangereux, ni même menaçant. Sous les yeux de nombreux témoins, il est immobilisé par deux agents de la BAC, rejoints par des officiers de la police municipale et nationale. Pieds et mains menottés, ventre contre terre, Hakim subit durant 15 à 20 minutes une clé d’étranglement (dont l’usage est condamné par la Cours Européenne des Droits de l’Homme) associée à une violente compression thoracique et à de violents coups de poings et coups de pieds. Voyant l’état critique du jeune homme, des passants tentent d’intervenir. En vain. Hakim AJIMI est mort, il avait 22 ans.

En octobre 2008, les deux juges d’instruction du tribunal correctionnel de Grasse ont placé, contre toute logique, les deux agents de la BAC responsables de la mort de Hakim en position de témoins assistés. Le 5 mai 2010, suite à l’appel de la partie civile, elles récidivent en concluant l’information judiciaire par un non-lieu, ignorant tous les éléments à charges contre ces deux agents :

faisant fi des vingt témoins oculaires dénonçant les méthodes barbares employées par la police sous leurs yeux et ayant causé la mort de Hakim ;

faisant fi de l’expertise médicale explicitant une mort lente et douloureuse par asphyxie mécanique ;

faisant fi des procès verbaux des agents de la BAC et de la police ne démentant ni la durée de l’étranglement ni l’inertie du corps au moment de son transfert au commissariat ; ·_ faisant fi de la requête du procureur de la République demandant la mise en examen pour avoir « causé la mort de Hakim par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de sécurité » ;

faisant fi de l’ordonnance de la Chambre d’instruction d’Aix-en-Provence de fournir un supplément d’information « aux fins de mise en examen des deux policiers pour homicide involontaire et non assistance à personne en péril ;

faisant fi du rapport accablant de la Commission Nationale de Déontologie de la Sécurité, qui s’indigne de « l’inhumanité » des policiers, dénonce « l’abus inutile de l’usage de la force », et demande des sanctions disciplinaires contre les agents impliqués.

Le comité de soutien Vérité et Justice pour Hakim dénonce l’alimentation d’un corporatisme aveugle et dangereux et le maintien d’un climat délétère par les deux juges d’instruction du tribunal correctionnel de Grasse. Il oeuvre, avec détermination, pour faire triompher la vérité et pour que justice soit rendue.

MOBILISATION JEUDI 9 SEPTEMBRE 2010 À 14 H DEVANT LA COUR D’APPEL D’AIX-EN-PROVENCE CONTRE LE NON-LIEU SCANDALEUX PRONONCÉ EN FAVEUR DES RESPONSABLES DE LA MORT DE HAKIM AJIMI

Vérité et Justice pour Hakim

tél : 06 61 47 39 17

mail : comitedesoutienpourhakim@gmail.com This e-mail address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it

La pétition continue à avoir besoin de signatures massive et pour cela doit circuler massivement :

http://www.ldh-toulon.net/spip.php ?article3971

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9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 15:17

Vendredi 10 Septembre 2010

 

Politique

 

Bernard Thibault : " On peut aller vers un blocage, une crise sociale d'ampleur "

 

Le secrétaire général de la CGT dénonce la méthode du président, minimise ses annonces et prévient : " Nous n'avons pas l'intention de lâcher "

 


 

ENTRETIEN

 

Appel à la mobilisation, dénonciation de la méthode du président jugée " dangereuse pour la démocratie " ... Dans l'entretien qu'il a accordé au Monde au lendemain de la mobilisation réussie du 7 septembre, le secrétaire général de la CGT accuse Nicolas Sarkozy d'avoir " instrumentalisé " la réforme des retraites " pour des raisons politiques " et met en garde l'exécutif contre le risque de " blocage " . " Plus l'intransigeance dominera, plus l'idée de grèves reconductibles gagnera les esprits " , avertit Bernard Thibault.

 

 L'intersyndicale annonce de nouvelles initiatives d'action, le 15 et le 23 septembre. Quel objectif leur assignez-vous ?

 Un objectif clair : confirmer notre opposition au projet de loi et rallier à cette cause encore plus de salariés. Nous appelons à des mobilisations dans les entreprises le 15 pour interpeller les députés le jour où ils veulent voter la loi. Pour eux aussi, l'heure de vérité approche et l'histoire montre que les précédentes réformes des retraites ne sont pas restées sans effet sur le comportement des électeurs. Le 23 sera une journée de grèves et de manifestations. Nous n'avons pas, nous non plus, l'intention de lâcher !

 

 N'est-ce pas risqué de lancer des mouvements à répétition ?

Nous nous appuyons sur la dynamique exceptionnelle provoquée par la mobilisation de mardi, si forte qu'elle a conduit le président de la République à théâ-traliser son intervention en conseil des ministres. Ce rendez-vous est sans égal dans l'histoire sociale de ce pays. Plusieurs millions de personnes ont participé à cette journée soutenue par une large partie de la population. Le répondant a été à la hauteur du défi qui nous avait été lancé. Notre responsabilité d'organisations syndicales est de tout faire pour être entendues, pour faire partager nos arguments et pour convaincre de la faiblesse de ceux du président. Son obstination à maintenir la réforme en l'état obéit, nous semble-t-il, à des raisons qui ne sont plus liées à l'avenir des retraites.

 

 Qu'entendez-vous par là ?

Le chef de l'Etat a décidé d'instrumentaliser cette réforme pour des raisons politiques. Il en a fait l'un des marqueurs de son quinquennat. C'est une source de blocage, comme l'est aussi le fait que l'Elysée rédige aujourd'hui la loi. Par ailleurs, le président est, comme tous les chefs d'Etat européens, sous la pression des agences de notation. Il est soumis à l'injonction de ces agences, celles-là même qui ont contribué à la crise financière de 2008. Le déficit du système de retraite n'est pas d'abord lié à la démographie. Cette dernière n'a pas radicalement changé depuis l'élection présidentielle de 2007. En revanche, ce qui a changé, c'est bien la crise et son impact sur les comptes sociaux. On veut nous en faire payer les effets.

 

 Mais il faut bien assurer le financement des retraites...On cherche des milliards pour combler les trous, ils existent ! La suppression des allégements de cotisations sociales dont bénéficient d'abord les entreprises rapporterait, d'après la Cour des comptes, entre 67 et 73 milliards d'euros. Quant au montant des baisses d'impôt, qui ont surtout profité aux plus fortunés, il a été évalué par la commission des finances de l'Assemblée à 100 milliards sur dix ans. D'autres solutions existent pour financer les retraites.

 

 Nicolas Sarkozy propose de discuter prochainement avec les partenaires sociaux de la politique industrielle de la France, chère à la CGT. Est-ce une bonne idée ?

 

Je viens de découvrir cette annonce. Je ne peux évidemment pas ignorer le contexte dans lequel cette initiative intervient.

 

 Que pensez-vous des aménagements annoncés en conseil des ministres sur la pénibilité, les carrières longues, les polypensionnés et la fonction publique ?

Une remarque, tout d'abord : Nicolas Sarkozy avait indiqué, le 24 juin, que le dialogue sur la réforme se poursuivrait cet été. Or il ne s'est absolument rien passé jusqu'à ses annonces du 8 septembre, au lendemain de la mobilisation.

 

Dans ce pays, les syndicats sont sommés d'accepter systématiquement le fait accompli et les arbitrages successifs, unilatéraux et personnels du président. Cette méthode atteint ses limites. Elle est dangereuse pour la démocratie, qui ne se résume pas à la seule élection présidentielle. La démocratie sociale existe. Elle fait partie de notre démocratie. Or elle est très largement bafouée. Aucun gouvernement européen engagé dans une réforme des retraites ne s'est comporté comme l'exécutif français en verrouillant d'emblée toute discussion.

 

 Quels sont les effets d'une telle attitude ?

En procédant de la sorte, le chef de l'Etat renforce chez les salariés le sentiment que sa réforme a été faite par des comptables ou des financiers, pas par des gens qui connaissent les réalités sociales et le monde du travail. C'est pour le moins une stratégie risquée.

 

 Mais il a quand même infléchi son projet de loi, notamment sur la pénibilité ?

Ce qu'il a annoncé est à la marge au regard des désaccords de fond. Le dispositif de la pénibilité reste subordonné à des critères médicaux et individuels. Le renvoi à des négociations de branche n'oblige à aucun résultat alors que le patronat y est hostile. Les aménagements sur les carrières longues restent flous. La réforme reste fondamentalement injuste.

 

 Entre l'obstination du président et la vôtre, où va-t-on ?

On peut aller vers un blocage, vers une crise sociale d'ampleur. C'est possible. Mais ce n'est pas nous qui avons pris ce risque. Ceux qui manifestaient hier n'avaient pas en tête l'élection présidentielle de 2012. Ils pensaient, et c'est apparu clairement dans les défilés, à la réforme des retraites sachant d'expérience que ses effets continueront de se faire sentir bien longtemps après le départ de la scène politique de ses auteurs. Il ne faut pas faire dire à cette manifestation autre chose que ce qu'elle dit. Et d'ailleurs, je pense que le caractère unitaire de l'action syndicale est de nature à rassurer les salariés. Il montre que, quelles que soient leurs différences, les syndicats font bien ce qu'ils ont à faire : du syndicalisme, en mobilisant au-delà des clivages politiques.

 

 Le taux de grévistes a été important dans les transports et plusieurs syndicats réformistes notent une certaine radicalisation de leur base. Qu'observe la CGT ?Il n'y a pas que dans les transports urbains ou à la SNCF que ce climat existe. Il existe aussi dans la métallurgie, la chimie, l'énergie et ailleurs. On a même trouvé une PME sans syndicat où 40 salariés sur 44 ont fait grève. C'est un signe. Plus l'intransigeance dominera, plus l'idée de grèves reconductibles gagnera les esprits.

 

 Propos recueillis par C. Gu.

 

 

 


 

 

Tous droits réservés : Le Monde

Diff. 367 153 ex. (source OJD 2005)

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9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 14:32

Tous vivants, tous libres

par La Bizikleta, mardi 7 septembre 2010, à 15:47

Tous vivants, tous libres!

 

 

Quelle ironie,  le monde se réjouit de ce que les mineurs chiliens prisonniers des entrailles de la terre sont sains et saufs, alors qu’exactement en même temps, un même nombre de citoyens du même pays risquent de mourir dans un silence assourdissant.

 Nous espérons tous que les 33 mineurs sortent sains et saufs de cette situation très difficile, mais 34 est le nombre de prisonniers politiques mapuches dispersés dans 5 prisons du même pays, tous en grève de la faim, depuis presque deux mois pour certains. Ils se battent avec leurs familles, la rage au ventre s’ils en ont encore la force, pour éviter l'insupportable oubli, l'insoutenable silence des médias.

 Nous suivons tous les 33 hommes de la mine au travers d’un véritable feuilleton politico-médiatique dans lequel les épisodes sont tous quasiment identiques, tandis que 34 indigènes mapuches, originaires ou résidents du Sud du Chili, injustement victimes de la loi antiterroriste héritée de l’époque Pinochet, ont pris l'ultime des décisions pour se faire entendre.

 

 Pourquoi  cette « injustice »?

 La loi 18.314, connue sous le nom de "loi antiterroriste", a été utilisée exclusivement pour éteindre les mouvements sociaux du peuple Mapuche.  Les actuels accusés (96 au total) se trouvent judiciairement dépourvus de tous les moyens de défense du Droit commun, ce qui se traduit par une série d’irrégularités parmi lesquelles nous mentionnerons  la "présomption de culpabilité", les détentions arbitraires, les tortures et châtiments psychologiques, les détentions provisoires prolongées, la non-signification des charges retenues contre eux, les accusations basées sur des déclarations de “témoins sans visage” avec lesquels il n’y aura finalement aucune confrontation, les déplacements arbitraires et le harcèlement incessant  de la police chilienne dans leurs communautés…

 

Que faut-il ajouter pour démontrer l'injustice dont est victime ce peuple originaire du Sud du monde ?

 Le  Collectif de soutien au peuple Mapuche en France* se fait l’écho des demandes des prisonniers politiques mapuches et invite tous ceux qui revendiquent la défense des droits humains à manifester devant l'Ambassade du Chili mercredi 8 septembre à partir de 18h30. Cette date correspond à un appel lancé par le collectif des familles des prisonniers politiques Mapuches pour soutenir internationalement les revendications de ces hommes et enfants en grève de la faim et lever le voile du silence qui entoure leur sacrifice.

 Nous invitons la presse à suivre cette manifestation et à faire connaître cette double injustice au même visage: au nord du Chili il y a 33 personnes coincées dans une mine, au sud du Chili, 34 sont ensevelies par l'injustice dans les prisons du Sud.

 

Quelles sont leurs revendications?

 La fin d’utilisation de la loi 18.134, connue sous le nom de loi antiterroriste, appliquée  tout spécialement contre le peuple Mapuche;

 La fin du double jugement – civil et militaire  – imposé aux inculpés mapuche pour des affaires à caractère civil.

 La révision de tous les jugements antérieurs concernant les membres de communautés  mapuches condamnés au titre de la loi antiterroriste.

 La reconnaissance de leurs droits environnementaux, sociaux, culturels et politiques, en accord avec la convention 169 de l’OIT approuvée par le congrès chilien et en vigueur depuis septembre 2009.

 

 

 

 

 

(*) Ce Collectif regroupe la Fondation France-Libertés, l’AFAENAC, le Collectif pour les Droits de l’Homme au Chili, la Commission Amérique Latine du MRAP, Terre et Liberté pour Arauco, le Comité de Solidarité avec les Indiens des Amériques - CSIA Nitassinan, Nuevo Concepto Latino, Relmü Paris, Association Ex-Réfugiés Politiques de Fontenay sous Bois, La Bizikleta.

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9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 12:34

ICRA News

L´activiste et prisonnier politique indigène tzotzil du Chiapas, Alberto Pathistan, est détenu depuis maintenant 11 ans. Une campagne de soutien au niveau international s´organise afin de récolter de nombreuses signatures pour obtenir sa libération.
 

ICRA a apporté son soutien à cette campagne.
Vous pouvez vous aussi signer la pétition lancée par Espoir Chiapas
.
Alberto, activiste indigéne tzotzil, est un membre de “l'autre Campagne” de l'ezln.
Il a été détenu en 2000 et sanctionné de 60 années de prison pour un délit qu'il n'a pas commis. Il a été accusé d'une embuscade contre la police en 1998 à laquelle il n'a pourtant pas participé. Cela fait 11 ans qu'il est en prison. Les accusations contre sa personne ont été portées par le président municipal du parti du PRI, qui avait orchestré contre Alberto une vengeance politique, comme cela a été démontré, avec le soutien du gouvernement de l'Etat du Chiapas. Les vrai coupables de l'embuscade criminelle n'ont jamais éte ni recherchés ni punis. Peu de temps apres l'armée a démantelé violemment la municipalité autonome zapatiste de San Jean de la Liberté avec des morts zapatistes et non zapatistes.

Au fil des années, Patishtán est devenu un symbole, défenseur et porte parole des prisonniers injustemment emprisonnés, surtout après à la grève de la faim des prisonniers politiques du Chiapas en 2007, convoquée par La Voz Del Amate, organisme adhérent à la sixième déclaration de la foret Lacandon, l'autre campagne, de EZLN.

A l'issue de ce mouvement qui dura plus de 40 jours dans certaines prisons, une cinquantaine de prisonniers de l'autre campagne, de l'EZLN, et de groupes catholiques proche du diocése de San Cristobal de Las Casas sont sortis libres des prisons. Seul Patishtán est resté en prison car sa libération ne dépend pas du gouvernement du Chiapas.

Au moment de son emprisonnement en 2000, Patishtán était un maître bilingue respecté travaillant pour la defense des droits des maîtres indigènes dans leur zone.

Aujourd´hui Alberto est donc devenu un défenseur des droits des prisonniers. A plusieurs reprises, différents organismes de droits de l'homme se sont vus refuser une visite par le directeur de la prison alors qu'ils avaient une autorisation formelle.

Depuis la france, nous manifestons notre respect et notre solidarité et nous exigeons son immédiate libération.

Merci de signer la pétition de soutien lancée par Espoir Chiapas

Dire la vérité et défendre le droit du prochain et de toute demande social, au Mexique et ses états, continue d´être un délit, bien que les autorités institutionnelle se fassent et se défassent des lois pour leur propre bénéfices. Cependant, les analphabètes, les dépourvus, les monolingues de langue indigène continuent d´être des victimes et de surpeupler les prisons du Mexique et leurs entités à cause de toute cette injustice, et après avoir été condamné pour de nombreuses années, ils sont obligés de réaliser leur peine d´un lieu a un autre, arbitrairement“. A.Pathistán

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