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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 19:31

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 10:01

 

CU  ZIEU 

 

Salle de l'ERA

         à 20 Heures

SAMEDI 5 MARS 2011

 

THEATRE“Le Monologue

de la concubine”

  

de Hubert Nyssen par Corinne Perret

 

 

 

"ÉMOUVANT, DRÔLE,TENDRE, COLÉRIQUE ET INQUIÉTANT"

I

Organisé par l’Association SONGTAABA

 

au profit des enfants du Burkina Faso

http://songtaaba.over-blog./com

ENTREE 5 € Tél : 06 79 75 56 61

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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 08:54
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16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 20:11

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4 janvier 2011 2 04 /01 /janvier /2011 16:16

Théâtre Libre  

 

 

SAINT ETIENNE,
Le 04 janvier 2011

Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Les derniers devoirs Une pièce sérieuse où l'on rit beaucoup du malheur des autres.

Voilà ce que nous vous proposons pour débuter l'année avec toujours un humour grinçant qui nous interroge sur nos comportements et notre relation à l'autre...

en savoir + « Les derniers devoirs », de Louis CALAFERTE.
Par la Compagnie du TROUBLE-THÉÂTRE.
Les jeudi 13, vendredi 14 et samedi 15 janvier 2011 à 20h15

Prix des places : 12 euros - 8 euros et 5 euros.
Réservez dès aujourd'hui au 04 77 25 46 99.

N'hésitez pas à faire circuler l'information

Au plaisir de se retrouver ou de faire votre connaissance, avec tous nos voeux de santé, de courage et de joie.

En vous remerciant, cordialement.

Maurice GALLAND, Ghislaine DUCERF, Roger GALLAND et toute l'équipe du TL.

Signature

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5 décembre 2010 7 05 /12 /décembre /2010 20:18

 Cherif Haidara -  peintre

 

 

 

 

 

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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 13:51

Informations sur l’exposition Gaza 2010 :


Du 5 novembre au 5 décembre 2010
Du mardi au dimanche de 10h à 18h
au Musée d'Art moderne de la Ville de Paris
11 avenue du Président Wilson, P16
http://mam.paris.fr/
Entrée libre:
Exposition du lauréat 2009 du prix Carmignac Gestion du photojournalisme:
Kai Wiedenhöfer


=================================================

Le thème proposé aux photographes pour l’édition 2009 était la « Bande de Gaza ».
14 candidatures de 8 pays différents, triées sur le volet parmi les 76 dossiers
reçus, ont été choisies tant pour leurs projets très étudiés que pour la
singularité de séries photographiques révélatrices d’un travail de fond déjà
réalisé. Les débats ont d’abord porté sur la qualité des travaux
photographiques, avec le choix dune démarche d’auteur et de la singularité d’un
regard. L’originalité des projets écrits, la capacité de chaque candidat à
proposer une lecture renouvelée et porteuse de sens ont ensuite été examinées
par le jury.

Trois finalistes proposant des approches différentes ont été désignés à l’issue
d’un premier tour de scrutin très animé autour du travail de l’allemand Kai
Wiedenhöfer, de la palestinienne Eman Mohammed et de
la française Lizzie Sadin.
Dans ses délibérations, le jury a souligné la qualité et la sensibilité du
travail de la jeune Eman Mohammed, âgée de 22 ans, sur la condition des femmes
palestiniennes, à laquelle il a été attribué le Prix Spécial du Jury. Le jury a
finalement décidé de récompenser le projet de Kai Wiedenhöfer.

Dans le cadre de l’édition 2009 du Prix Carmignac Gestion du Photojournalisme,
Kai Wiedenhöfer souhaite faire une nouvelle immersion dans la bande de Gaza
pour témoigner de sa reconstruction après la dernière attaque israélienne de
janvier 2009.

Il réalisera une nouvelle série structurée sur trois thèmes :
- Les décombres : avec les stigmates des bombardements dans la ville et la
façon dont les palestiniens ont réappris à vivre dans des habitats précaires.
- Le siège : avec la vie quotidienne pendant le blocus, le ravitaillement, la
pollution, les troubles psychologiques, l’eau, le mur, le point de passage de
Rafah.
- Les colonies israéliennes abandonnées : en revenant sur des lieux qu’il avait
photographiés pendant l’été 2005 au moment du retrait de l’armée israélienne.
Depuis 1990, ce photographe engagé s’est attelé à un vaste travail documentaire
sur la vie quotidienne dans les territoires occupés. Kai Wiedenhöfer s’est
distingué par sa constance dans le suivi, le traitement et l’exploration du
conflit entre Israël et Palestine. Parlant couramment l’arabe, il manifeste un
attachement et une compréhension qui vont au-delà de ce qui est considéré comme
l’actualité, dépassant les moments de tension et de violence exacerbée, pour
poursuivre un travail documentaire ininterrompu. Cette démarche s’inscrit dans
une tradition humaniste consistant à interroger le réel avec sensibilité, à
refuser de verser dans la caricature, pour percevoir la réalité dans sa
complexité. Le travail photographique de Kai Wiedenhöfer se distingue aussi par
sa capacité à se renouveler. Ayant initié son travail sur Gaza en privilégiant
le noir et blanc dans la tradition du reportage, aujourd’hui il adopte une
photographie plus réflexive avec des cadrages panoramiques en couleurs qui
dénotent dune écriture originale, audacieuse et très contemporaine.

Le 23 octobre 2009, le photographe allemand Kai Wiedenhöfer a été désigné
Lauréat de la première édition du Prix Carmignac Gestion du Photojournalisme,
par le jury suivant, présidé par le photographe, cinéaste et peintre William
Klein.
http://www.carmignac.fr/fr/prix-photojournalisme-2009.htm
 

 

 

 

 

 

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1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 19:03

Photos de Francoise Gatelet Artiste Peintre - tableaux visages du monde

 

Photos de Francoise Gatelet Artiste Peintre - tableaux visages du monde

 
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25 octobre 2010 1 25 /10 /octobre /2010 11:14

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 Voici des idées   de  cadeaux en vente à boutique du Musée d'Art Moderne de Paris.
Les foulards sont de Brochier Soieries et les bijoux de Côté Musées

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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 21:06

 

 

 

Kertész, la singularité poétique

Par Violaine Binet, publié le 05/10/2010 à 07:00 L'Express.fr

 

 

 
 
Kertész, la singularité poétique

Robert Doisneau et André Kertész en 1975 durant les 6èmes Rencontres Internationales de la Photographie d'Arles  

Wolfgang H. Wögerer, Wien/Wikimedia Commons

André Kertész était un génie de la composition. Sa rétrospective au Jeu de paume, à Paris, célèbre son apport majeur à la photographie du XXe siècle.

 

Toute sa vie, André Kertész (1894-1985) a su dire non aux influences. Non au pictorialisme en vogue à Budapest à ses débuts de photographe. Non à l'embrigadement des cercles, surréalistes et autres, qu'il fréquenta à Paris. Non encore au photojournalisme formaté, tel que le magazine Life l'exalte aux Etats-Unis, son pays d'adoption pendant presque trente ans. Ces refus successifs ont construit un artiste exemplaire, maître absolu de sa vision : "Je fais ce que je sens, c'est tout." Il découvre sa vocation à 18 ans. Deux ans plus tard, enrôlé dans l'armée, Kertész emporte son appareil. Son style, déjà, est à rebours du sensationnel : une touche humaniste, quasi fraternelle. C'est pour rejoindre l'avant-garde et fuir un régime antisémite qu'il s'installe à Paris, en 1925.  

Les années passées dans la capitale sont une période bénie. Tout en s'imprégnant des courants artistiques, Kertész affirme sa singularité poétique. Ses recherches formelles - les fameuses "distorsions" - ses images de la ville, ses portraits, ses contributions aux magazines, dont l'excellent Vu, sont celles d'un génie de la composition qui invente un nouveau langage. Idem à New York, où il débarque en 1936. Kertész, sans concession, s'y trouve alors incompris du milieu de la photographie. Il ne cesse pourtant de se renouveler sur un mode mélancolique. Le prix à payer pour ce solitaire ? Longtemps, son oeuvre a gardé des coins d'ombre. Un oubli que cette rétrospective magistrale va réparer. Riche de 300 tirages, dont certains jamais vus - les petits formats réalisés dans sa jeunesse en Hongrie - et d'une foule de documents tirés de ses archives léguées à la France, elle célèbre son apport majeur à la photographie du XXe siècle. Cartier-Bresson n'a-t-il pas dit : "Nous devons tous quelque chose à Kertész" ?  

André Kertész, musée du Jeu de paume, Paris (Ier), jusqu'au 6 février 2011
www.jeudepaume.org.  

 

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