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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 17:29
Votation citoyenne
Auteur de l'article : LDH
Appel du 1er mai pour organiser des référendums locaux en décembre 2010
 
Appel du collectif Votation citoyenne
Le collectif Votation citoyenne lance son appel à l’occasion du 1er mai pour lancer une campagne pour l’organisation de référendums d’initiative locale en décembre 2011.

 

La question du droit de vote et d’éligibilité des résidents étrangers est posée depuis plus de trente ans en France. Encore récemment, le 31 mars 2010, l’Assemblée nationale a rejeté, par 313 députés de la majorité présidentielle, une proposition de loi constitutionnelle sur le « droit de vote et d’éligibilité aux élections municipales des étrangers non ressortissants de l’Union européenne résidant en France ». L’Assemblée nationale n’a pas tenu compte de l’évolution de l’opinion des citoyens sur cette question quand les sondages depuis de nombreuses années, indiquent qu’ils sont favorables au droit de vote des résidents étrangers.

 

En effet, pourquoi maintenir les résidents étrangers non européens à l’écart de ce droit ? Etrangers comme nationaux sont impliqués dans la vie de la cité : ils participent à la vie économique, sociale, culturelle et associative et contribuent déjà à la vie citoyenne en étant responsables d’associations, délégués syndicaux, représentants de parents d’élèves, électeurs pour la désignation des conseils de prud’hommes… Reconnaître ce droit c’est un élargissement de la démocratie, un pas vers un suffrage réellement universel, vers une citoyenneté attachée à la résidence, et pas seulement à la nationalité, c’est renforcer auprès de tous la conscience citoyenne et les valeurs d’égalité, de fraternité et de liberté.

 

La majorité des pays de l’Union européenne (17 pays) a instauré totalement ou partiellement ce droit. En France, c’est plutôt la société civile, soutenue par des communes et des élus, qui ont mené, pendant de nombreuses années, des campagnes en faveur du droit de vote des étrangers.

 

En ce printemps 2010, une nouvelle campagne en faveur du droit de vote des étrangers à l’initiative du collectif Votation citoyenne, démarre. Elle consiste à :

> inviter les maires et les conseils municipaux qui le souhaitent à organiser, autour de la journée internationale des droits de l’Homme, en décembre 2010, des référendums d’initiative locale sur la question du droit de vote et d’éligibilité des résidents étrangers non européens aux élections locales. Les municipalités favorables à l’organisation de ces référendums pourront constituer des listes électorales additives et organiser l’inscription des résidents non européens de leur commune sur ces listes afin qu’ils participent à ces référendums.

 

> mobiliser les organisations locales et nationales, engagées en faveur du droit de vote des étrangers, à soutenir cette campagne, auprès des élus et des citoyen(ne)s.

DROIT DE VOTE ET D’ÉLIGIBILITÉ DES ÉTRANGERS AUX ÉLECTIONS LOCALES
Le collectif Votation citoyenne lance une campagne pour :

ORGANISATION DE RÉFÉRENDUMS LOCAUX EN DÉCEMBRE 2010

 

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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 17:11
 
 
Dans votre boutique harmonia mundi de Saint-Etienne

RENCONTRE MUSICALE
Vendredi 7 mai 2010
- 18 h

Ensemble "Canticum Novum"
présente le "Llibre vermell de Montserrat"
en collaboration avec l'Opéra Théâtre de Saint-Etienne
canticumnovum.free.fr


BILLETTERIE CONCERT

 

"Corneguidouille"
Trio Manouche

 

Dimanche 9 mai 2010 à 18 h 00

 

A cette occasion et dans le cadre du partenariat avec GAGA JAZZ

 

1 disque offert pour tout achat (hors livres) sur présentation d'un billet du concert

 

www.gagajazz.com

 

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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 16:59
Appel aux précaires : faisons de la grève du 3 mai le début d’une lutte prolongée

 

Faisons du 3 mai le début d’une lutte prolongée !

Nous livrons des pizzas, distribuons des journaux, remplissons les boîtes aux lettres de publicité, faisons la plonge, des colos, du soutien scolaire, poinçonnons des tickets, informons les usagers des transports, répondons au téléphone... Et bien d’autres choses encore. Entre temps, nous pointons à Pôle Emploi, à la CAF, au CCAS, à la mission locale ; nous cherchons vaille que vaille à suivre un cursus, une formation, une promesse d’échappatoire au « petit boulot alimentaire » qui souvent rythme notre quotidien. Ayant à faire « nos preuves », il est « tout naturel » que nous en venions à travailler gratuitement : stages, évaluation en milieu de travail...

 

On nous dit que le travail, même le plus dégradé, est un bienfait en soi, que ça nous met le pied à l’étrier, que ça n’est qu’un début... Mais avons-nous vraiment le choix ?

Avons-nous les moyens de construire dès maintenant notre vie telle que nous le souhaitons ? Avons-nous les moyens d’inventer collectivement des formes de travail épanouissantes, qui aient du sens, qui soient utiles et nous rendent plus libres ?

Non, le niveau des bourses, des allocations, du RSA (pour ceux qui y ont droit), ne nous laissent bien souvent pas le choix. Ce temps où nous faisons l’expérience des réalités du « monde du travail » est aussi un temps volé : temps où il nous faut mettre entre parenthèses ce qui nous plaît, temps où il faut fermer sa gueule. On le supporte en se disant que c’est provisoire :

mais pour combien le « petit boulot alimentaire », intermittent, intérimaire ou plus stable sera-t-il un provisoire qui durera toute la vie ?

 

On nous dit qu’il ne faut pas cracher dans la soupe, qu’il faut garder l’esprit d’équipe. Mais en quoi ça nous concerne, les bénéfices des actionnaires, les gros salaires des administrateurs des boîtes où nous bossons, pour lesquels nous ne sommes que des exécutants interchangeables ?

 

Nous voulons avoir le choix. Nous voulons l’augmentation des bourses et l’élargissement de leurs critères d’attribution pour permettre aux étudiants de ne pas être contraints de se salarier pour payer leurs études. Nous voulons l’augmentation des minima sociaux, du RSA pour que les chômeurs ne soient pas réduits à la misère, pour que tout le monde ait le temps et la possibilité d’inventer un rapport plus collectif, plus solidaire, plus épanouissant au travail. Nous voulons choisir nos horaires et notre volume d’heures de travail, pour ne plus être à la disposition de nos patrons. Nous voulons des augmentations de salaire qui nous permettent de ne pas galérer à chaque fin de mois.

 

La coordination régionale bretonne et la coordination nationale des collectifs de chômeurs et précaires appelle à passer à l’action à partir du 3 mai. Retrouvons nous ce jour à 10 h place du Parlement pour envisager ensemble d’intervenir bruyamment dans des lieux de pouvoir institutionnel, dans des espaces de travail précaire, auprès des salariés menacés de licenciement...

 

 

 

Nous nous retrouverons tous les soirs à partir de 18 h place du Parlement : nous voulons faire du 3 mai le début d’une lutte prolongée pour que les chômeurs, précaires, intérimaires, étudiants se réapproprient la parole et l’espace public.

 

Nous invitons également tous les précaires à discuter collectivement sur leur lieu de travail, et à interpeller syndicalistes et représentants du personnel sur les possibilités de se mettre en grève (il doit s’agir d’une décision collective et motivée par des revendications, mais pas besoin de préavis) à partir du 3 mai. Le collectif unitaire de lutte des chômeurs et précaires, qui comprend également des syndicalistes, soutiendra activement toute initiative de cette nature.

Contact : collectifdu3mai@gmail.com

 

Deux réunions publiques sont organisées pour discuter de la grève des chômeurs et précaires : mercredi 28 avril à 18 h, Maison de Quartier de Maurepas, 32 rue de la Marbaudais, bus 5 arrêt Gros Chêne et vendredi 30 avril 18 h 30 à Carrefour 18, 7 rue d’Espagne, métro Italie

 

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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 15:55

 de la part de

Dalia Molina 29 avril, à 15:01

 

 

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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 10:28
PNG - 39.4 ko

Le gouvernement doit engager une concertation avec les organisations syndicales patronales et de salariés au mois d’avril en vue de réformer notre système des retraites. Il ne fait pas mystère de son intention d’allonger encore la durée des cotisations et de reculer l’âge légal du départ à la retraite.
Rien n’est joué contrairement à toutes celles et tous ceux qui affirment qu’il n’y aurait pas d’autres solutions que d’allonger la durée de cotisation ou de reporter l’âge légal de départ à 60 ans.
La retraite mérite un grand débat national car elle relève de choix de société. Ce débat ne saurait être l’affaire des seuls experts. Les salariés et leurs organisations syndicales ont leur mot à dire. Dans cette période, la CGT va mobiliser toutes ses organisations pour aller au contact des salariés, pour les informer des enjeux, des propositions qu’elle met en débat

 

Comment conforter la retraite à 60 ans quand les jeunes entrent de plus en plus tard sur le marché du travail ?
Un article de Laurent Mossino publié dans Ensemble, le mensuel au syndiqués CGT d’avril 2010
.

Selon un récent sondage, près de 80 % des moins de 35 ans expriment la crainte de ne pas percevoir une retraite satisfaisante à l’avenir. On les comprend. Comment peuvent ils en effet prétendre au bénéfice d’une retraite pleine et entière à l’âge de 60 ans comme leurs aînés, quand ils occupent leur premier emploi stable en moyenne à 27 ans et qu’il leur faudra cotiser au bas mot pendant 41 ou 42 ans et même plus ? Ils risquent alors de se tourner vers les systèmes d’épargne retraite, même si la crise a mis en évidence la fragilité des régimes par capitalisation. En 2008, du fait de l’effondrement des Bourses mondiales, les fonds de pensions ont vu, en moyenne, la valeur de leur investissement baisser de 23% dans les pays de l’OCDE. Notre système de retraite par répartition repose sur le principe d’une solidarité inter générationnelle. Le retraité du moment est pris en charge par le salarié, qui sera lui-même pris en charge par le futur cotisant. Que l’un des éléments de la chaîne vienne à céder et c’est tout l’édifice qui s’écroule. Il est donc urgent de restaurer la confiance des jeunes dans le système. C’est le sens de la proposition de la CGT, qui vise à redéfinir la notion de « carrière complète » pour bénéficier d’une retraite complète. Il s’agit de valider dans le calcul des droits à retraite les années d’étude, les périodes de stages, de formation, de recherche d’un premier emploi et d’inactivité forcée que chacun peut rencontrer au cours de sa carrière, de l’âge de 18 ans jusqu’à 60 ans. Seules les périodes d’inactivité choisie pour convenance personnelle ne serait pas validées au titre de la retraite. Le droit à une retraite pleine et entière deviendrait alors accessible à tous les salariés sans exception. Cette revendication est également défendue par les syndicats d’étudiants. Elle n’a rien d’utopique, puisque les années d’études sont déjà reconnues comme des périodes de travail en Allemagne et en Finlande. En France aussi, pour certaines écoles comme Polytechnique ou l’Ecole normale supérieure.
 
A savoir :

Il faut distinguer l’âge de cessation d’activité qui est aujourd’hui en moyenne de 58 ans et 9 mois, l’âge légal de départ en retraite qui est de 60 ans et l’âge effectif du départ à la retraite qui est en moyenne de 61 an et demi ( régime général ).


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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 10:23

Samu Social de Paris

17 jours d’une grève inédite et des acquis au bout

jeudi 29 avril 2010, par Frédéric Dayan

 
Le premier mouvement social qu’a connu le Samu social de Paris entamé le 31 mars 2010 a pris fin le lundi 26 avril 2010, après 17 jours de lutte basé sur une plateforme de revendication de 13 points. La vistoire est au bout de ce conflit avec des acquis obtenus sur 11 de ces points.
 
Les salariés ont notamment obtenu :
- une augmentation générale de la masse salariale de 4% sur 4 tranches de salaires avec un plafond à 2500 euros brut mensuel ;

- une prime de suractivité de 150euros brut mensuel sur la période hivernale (4mois). Cette mesure n’est pas, mais peut devenir pérenne ;

- une « Indemnité spécifique d’activité » de 75euro brut mensuel ;

- paiement d’au moins 10h sup/mois sur demande du salarié ;

- transformation des CDD en CDI à partir de 9 mois d’ancienneté, anciennement plafonné à 6ans ;

- mise en place d’un service social pour les salariés qui pourraient en avoir besoin ;

- paiement de 5 jours de grèves pour les grévistes de longues durées (10jours et +). Le maintien de l’acquisition des jours de congés malgré la suspension temporaire de contrat. Ainsi que des mesures compensatoires pour tous (étalement de la retenue sur salaire, échange des jours de grève avec des CP ou RTT.
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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 10:16

PARIS, 28 avr 2010 (AFP)

 

- Des sans-papiers, qui vont participer du  1er au
31 mai à une marche Paris-Nice, vont appeler les chefs d'Etat africains à ne
pas signer les laisser-passer permettant les expulsions d'immigrés en situation irrégulière, ont déclaré mercredi les organisateurs de la manifestation.
   

La marche, qui coïncide avec un sommet France-Afrique, aura pour principaux slogans: "hier colonisés, aujourd'hui exploités, demain régularisés" ou encore "gouvernements africains arrêtez de collaborer, gouvernement français, régularisez les sans-papiers", ont précisé les organisateurs réunis au sein du collectif "ministère de la régularisation de tous les sans-papiers".
   

Les manifestants entendent demander aux chefs d'Etats africains de ne plus signer les laissez-passer permettant au gouvernement français d'expulser les immigrés en situation irrégulière et de ne pas conclure avec Paris d'accord sur la gestion des flux migratoires.
   

Conformément au "Pacte européen sur l'immigration et l'asile" adopté en 2008, la France a signé des accords sur l'immigration avec plusieurs pays: Bénin, Cameroun, Cap-Vert, Congo-Brazzaville, Gabon, Ile Maurice, Sénégal, Tunisie.
   

Ces chefs d'Etat "sont la cause de nos malheurs. Ils savent ce que nous subissons au pays et pourquoi nous sommes là", a dénoncé un intervenant  lors d'une conférence de presse.
   

Un autre a souligné que le durcissement des lois françaises depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy à la présidence "ne nous a pas empêchés d'arriver en France". "Maintenant, battons-nous pour être régularisés", a-t-il exhorté.
  

 "Si nous avons choisi de venir ici c'est parce que la France a d'abord fait l'émigration vers nos pays", a plaidé un troisième dans une allusion à la colonisation.
   

La manifestation "Paris-Nice à pied pour les sans-papiers" traversera dix villes: Melun, Auxerre, Dijon, Châlon-sur-Saône, Mâcon, Lyon, Valence, Avignon, Marseille, Cannes et Nice.
   

Cette dernière ville accueillera le sommet Afrique-France, qui se tient l'année du 50e anniversaire de l'indépendance pour 14 anciennes colonies françaises (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Centrafrique, Congo-Brazzaville, Côte d'Ivoire, Gabon, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal,  Tchad et Togo). Le président de la Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo, a décliné l'invitation en invoquant une situation intérieure difficile.
     ao/dd/jmg


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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 10:13
Mexique: Amnesty International dénonce les crimes contre les "clandestins"

 

MEXICO — Amnesty International a dénoncé mercredi l'indifférence, voire la responsabilité de représentants des autorités du Mexique face aux "enlèvements, viols et meurtres" dont sont victimes les clandestins dans le pays.

"Les autorités mexicaines doivent agir pour stopper les sévices dont sont continuellement victimes les émigrants, proies de bandes criminelles tandis que les représentants de l'autorité ferment les yeux ou jouent même un rôle actif dans les enlèvements, viols et meurtres", dans un rapport publié à Londres, où siège l'organisation de défense des droits de l'homme, et reçu à Mexico.

 

Quelque 500.000 "clandestins", presque tous venus d'Amérique centrale, tentent chaque année la traversée du Mexique pour aller chercher du travail aux Etats-Unis. Ce voyage est devenu "l'un des les plus dangereux au monde", affirme le rapport signé par Rupert Knox, spécialiste du Mexique à Amnesty.

 

Les enlèvements contre une rançon, demandée à la famille restée au pays, ont atteint "des records en 2009", ajoute Amnesty en citant la Commission nationale mexicaine des droits de l'Homme (CNDH): "près de 10.000 victimes en six mois, dont près de la moitié affirment que des fonctionnaires étaient compromis".

 

"Six femmes ou jeunes filles sur dix dénoncent des viols, et la rumeur raconte que certains passeurs demandent que les émigrantes reçoivent des piqûres anticonceptionnelles avant leur voyage", selon Amnesty.

Le rapport cite le témoignage de "Veronica" (prénom modifié par Amnesty), qui voyageait le 23 janvier dernier avec plus de 100 clandestins à bord d'un train de marchandises stoppé par la police fédérale dans l'Etat du Chiapas (sud, à la frontière du Guatemala).

 

Les policiers ont obligé les clandestins à descendre et à s'allonger sur le ventre, leur ont dérobé leurs bagages et ont menacé de les tuer s'ils ne continuaient pas leur route à pied, le long de la voie, a-t-elle affirmé.

 

Après des heures de marche, le groupe a été attaqué par des hommes armés, Veronica a été violée et un de ses compagnons au moins a été tué, a-t-elle ajouté.

Deux suspects ont été arrêtés, mais la police fédérale n'a pas été inquiétée, bien que les victimes aient indentifié deux de ses agents, souligne Amnesty.

 

Amnesty "recommande" au Mexique de s'attaquer à cette "crise des droits de l'Homme" par "des réformes législatives garantissant l'accès à la justice, l'établissement d'une commission fédérale spéciale" et "la publication des cas de mauvais traitements et des actions entreprises contre les responsables, y compris les représentants des autorités".

Le Mexique a lui aussi ses émigrés, 12 millions aux Etats-Unis dont la moitié de clandestins, et son gouvernement s'est élevé ces derniers jours contre une loi d'immigration particulièrement sévère adoptée en Arizona, à la frontière entre les deux pays.

 

La loi, signée le 23 avril par la gouverneure républicaine Jan Brewer, autorise les policiers à arrêter des étrangers en cas de "doute raisonnable" sur la légalité de leur entrée aux Etats-Unis, même en l'absence d'un autre délit présumé.

 

Le Mexique "utilisera tous les moyens à sa portée" pour défendre ses émigrants contre cette loi qui "porte atteinte aux droits de l'Homme", avait déclaré mardi le président mexicain Felipe Calderon.

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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 10:03
APPEL AUX CITOYENS !

 

La course aux armements nucléaires reprend ! Et les coupables sont tout désignés: Corée du Nord, Iran… Mais rien n’est dit des programmes de modernisation des pays dotés d’armes nucléaires, États-Unis et France en tête, qui enfreignent le Traité de Non-Prolifération et représentent une menace pour le monde... Comment s’étonner que « l’élimination totale des armes nucléaires » (article VI du TNP) soit aujourd’hui bloquée? Quelle catastrophe faudra-t-il pour que les grandes puissances consentent à relancer un processus de désarmement nucléaire international?

Sans débat public, la France a lancé un programme ambitieux d’adaptation et de recherche pour les armes nucléaires du futur: le laser Mégajoule, un quatrième sous-marin, de nouveaux avions (Rafale), de nouvelles têtes nucléaires (TNO-Tête nucléaire océanique), et enfin de nouveaux missiles, les M51.

D’autres choix sont nécessaires !

Aux citoyens de le faire savoir ! 
 

 


Missile M51

La France doit cesser de bloquer les négociations internationales en cours à Genève sur le désarmement nucléaire. Elle doit montrer l’exemple, en renonçant au missile M51 et en œuvrant en faveur d’une Europe sans arme nucléaire.
 
Cette campagne d’interpellation des élus par les citoyens est un appel urgent à la raison.
Au président de la République actuel… comme au prochain !
En commençant par le commencement :

NON AU MISSILE M51 !

 

 

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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 09:50
 
Jeûne-action pour l’abolition des armes nucléaires
Un blog du Réseau "Sortir du nucléaire"
Dernier ajout – mercredi 28 avril 2010
 
Programme

26 avril-7 mai 2010 - 10 jours de Jeûne-Action

 

Tous les jours : exposition, stand, tractage… place Saint Michel de 14h00 à 18h00 (sauf le samedi 1er mai et le lundi 3 mai).

 

Lundi 26 avril, 19h30 : Mairie du 2ème, table ronde grand public " Le désarmement nucléaire et la France" avec Dominique Lalanne, le Général Bernard Norlain et d’autres invités.

 

 Mardi 27 avril : conférence de presse à 11h00 et début du jeûne dans la cour de la Mairie du 2ème. Réception de personnalités politiques, religieuses, militantes et artistiques.

 

 Jeudi 29 avril : 11h : demande d’entrevue à l’Hôtel de ville de Paris des jeûneurs et de leurs soutiens. Rendez-vous rue Lobau, entrée de la Mairie.

 

 Vendredi 30 avril : rendez-vous à 11h devant le Ministère de la Défense - 231 bd St Germain 75005 PARIS.

 

 Samedi 1er mai : participation à la manifestation du 1er mai avec animations diverses (marionnette géante, parade de missiles...). Rendez-vous à 13h30, sous la banderole "Abolition des armes nucléaires", côté Bd Voltaire

 

 Lundi 3 mai : A 14h00, temps spirituel au Jardin japonais de l’UNESCO (7, place Fontenoy) ; cérémonie de la Flamme de l’abolition des armes nucléaires, parcours militant et concert lyrique, en lien avec l’ouverture de la Conférence d’examen du Traité de Non-Prolifération (TNP) à New-York.

 

 Mardi 4 mai : 19h00. Duplex avec New-York : les évènements lors du début de la Conférence du TNP. Mairie du 2 ème

 

 Mercredi 5 mai : 19h00, Mairie du 2ème, projection du film "La Bombe" (Peter Watkins).

 

 Vendredi 7 mai : demande d’entrevue au Ministère de la Défense et présence devant le Ministère de la Défense (comme le fait l’association « la Maison de vigilance » tous les premier vendredi du mois pour demander l’abolition des armes nucléaires).

Repas de rupture du jeûne à 14h à la Mairie du 2ème.

contact : Jocelyn PEYRET :
06 20 36 57 17
jocelyn.peyret@sortirdunucleaire.fr

www.maisondevigilance.com/pr...
www.sortirdunucleaire.org
www.icanfrance.org

 

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