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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 19:10

En avant première, La lettre n° 3 de Fraternité Citoyenne (02/03/10) - Partie 1

à faire circuler sans restrictions par courriel ou sur blog
Rejoignez et invitez vos amis à rejoindre le groupe Fraternité Citoyenne :
http://www.facebook.com/group.php?gid=166710522100  

Fraternité Citoyenne rejoint le Front de Gauche. Le 14 mars votons Front de Gauche !

Dans la logique de notre précédente lettre « Deux visions se combattent à gauche » *1 et notre volonté de retrouver un rapport de force avec le PS au premier tour des élections, Fraternité Citoyenne appelle ses membres et ses sympathisants à voter pour les Listes Ensemble pour des régions à gauche solidaires, écologistes et citoyennes.

L’écologie politique n’appartient pas à Europe Ecologie. D’ailleurs, on peut se demander si la culture politique écologiste n’est pas plus présente au Front de Gauche avec des groupes politiques comme le notre ou encore avec un groupe comme « les alternatifs » que chez EE. En effet, lorsque l’on scrute avec attention le discours de certain leaders d’EE et en particulier celui de M. Cohn-Bendit on peut franchement se poser la question. En clair, l’écologie politique est inconciliable avec la vision du « tout marché » et l’Europe que défend ce Monsieur c’est l’Europe des banques et de L'article 104 du Traité de Maastricht (voir plus bas). Pour les véritables écologistes, il ne s’agit pas de repeindre le capitalisme en vert ou encore de relancer la croissance avec le « néobusiness » du développement durable. René Dumont est, pour les écologistes français, une des principales références et il suffit de lire ou de relire ses ouvrages pour constater que M. Cohn-Bendit est loin d’en être un digne représentant !

Comme le dit le journaliste M. Kempf, dans son livre : « Pour sauver la planète, sortez du capitalisme », l’écologie est incompatible avec le capitalisme. Les écologistes qui prétendent qu’il est possible de concilier les deux sont des escrocs intellectuels. Au delà de leur succès électoral aux élections européennes, les militants du parti « Les Vert » ne pourront pas éviter de se poser cette question fondamentale : leur parti doit-il continuer à être l’alibi environnemental du PS en négociant un certain nombre de circonscription « gagnable » pour quelques arrivistes de la politique ou vont-il choisir de rejoindre le Front de Gauche afin de nous aider à développer ce rapport de force avec le PS indispensable pour faire avancer notre projet de société véritablement alternatif au capitalisme ?  

Quant à ceux qui pensent que l’écologie n’est ni de gauche ni de droite, ils font preuve d’un manque de culture politique. Ou alors, les militants de l’Alliance Ecologiste Indépendante confondent le PS avec la gauche et donc lorsqu’ils disent qu’ils ne sont ni de droite ni de « gauche = PS », on est d’accord ! La droite ce sont les gens qui défendent l’ordre établi. L'origine historique du clivage se trouve dans un vote ayant eu lieu en France à l’assemblée nationale en août 1789. Lors d'un débat sur le poids de l'autorité royale face au pouvoir de l'assemblée populaire dans la future constitution, les députés partisans du veto royal (majoritairement ceux de l'aristocratie et du clergé) se regroupèrent à droite du président (position liée à l'habitude des places d'honneurs). Au contraire, les opposants à ce veto se rassemblèrent à gauche sous l’étiquette de «patriotes» (majoritairement le Tiers état). Depuis lors, les défenseurs du peuple et de l’intérêt général sont par définition à gauche. Aujourd’hui, le capitalisme c’est l’ordre établi. Il n’est plus à démontrer que l’écologie politique est incompatible avec le capitalisme. Par conséquent l’écologie est de gauche (cqfd). Maintenant, dire que parmi les pires catastrophes écologiques il y en a eu un bon nombre dans les pays de l’ex bloc de l’est, est une vérité qui n’enlève rien à la démonstration ci-dessus.

Quoi qu’il en soit, l’écologie politique est un nouveau paradigme qui prend ses racines dans les deux siècles de contestation de ceux qui n’ont que leur force de travail face à ceux qui détiennent les moyens de production, d’échange (la monnaie) et de propagande (la presse). Ensuite, viennent les différents idéologiques avec les 100 % marxiste (PCF, PG, NPA…) comme le productivisme et la croyance au matérialisme scientiste. Chers amis de l’AEI, venez donc plutôt nous aider à faire avancer le débat des idées au sein du Front de Gauche au lieu de vous acoquiner avec un parti mort né comme le MoDem.

Quant à la frontière idéologique entre le PS et les laudateurs du capitalisme (la droite) elle semble de plus en plus mince et par conséquent il ne reste pas beaucoup d’espace idéologique pour le MoDem qui est entre les deux ! En fait, les sociaux démocrates (PS + MoDem) passent leur temps à nous démontrer qu’ils sont ou qu’ils seront de meilleurs gestionnaires du capitalisme que ceux qui l’ont inventé. Mais, ils n’ont aucunement l’intention de proposer une solution de remplacement à ce système stupide, absurde et violent ; ils proposent simplement de l’adoucir de mesurettes sociales et environnementales.

Pour 2012, à moins de continuer à quémander des strapontins au PS, il n’y a pas 50 solutions. Il n’y en a qu’une ! Organiser des primaires populaire citoyenne honnête sans manipulation et sans triche AEI – Verts – Front de gauche – FASE – NPA et autres… (voir règles : *1).

D’autre part, la solution pour régler notre problème de dette nationale est simple, refuser de la rembourser ! En effet, l’article 104 du traité de Maastricht interdit aux États d’Europe d’emprunter auprès de leurs banques centrales, c’est-à-dire qu’il interdit aux États de créer eux-mêmes leur propre monnaie. Et donc la dette d’un pays dont l’État a perdu le droit de battre sa propre monnaie ne peut que s’envoler à l’infini. Cette dette servant uniquement à enrichir les banquiers, elle est donc artificielle. Pour plus de détails, voir la proposition de Réforme monétaire de Fraternité Citoyenne.
http://www.facebook.com/l/4cc88;www.fraternitecitoyenne.org/index.php?option=com_content&view=article&id=60&Itemid=82

*1 Lettre du 19/02/10 ( http://www.facebook.com/l/4cc88;marcjutier.over-blog.fr/article-la-lettre-n-2-de-fraternite-citoyenne-19-02-10-45699835.html )

Marc Jutier

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 13:41

PARIS, 1 mars 2010 (AFP)
- Le ministre de l'Immigration, C, dont le site Bakchich Info avait écrit qu'il comptait se convertir à l'islam pour épouser une jeune Tunisienne, a perdu le procès qu'il avait intenté au siteinternet, selon une ordonnance de référé consultée lundi par l'AFP.
   
Le 8 février, dans un article intitulé "Besson trébuche dans le tapis de la prière", Bakchich avait écrit que Besson, "tombé raide amoureux, cet été d'une jeune étudiante tunisienne", avait "promis à la belle-famille de se convertir à l'islam", "avant les noces en juin prochain".
   
Le lendemain, le ministre avait démenti une telle conversion, se disant "très attaché au caractère laïque de notre République".
   
Il avait alors engagé une action devant le juge des référés du tribunal de grande instance de Paris, au titre de l'atteinte à l'intimité de la vie privée. Il réclamait un euro de dommages et intérêts.
   
Dans une ordonnance rendue vendredi, le juge Alain Bourla a débouté
l'ancien socialiste.
 Il a d'abord estimé que Bakchich n'avait pas été valablement
assigné. Les poursuites contre le site lui-même ont donc été déclarées nulles.
   
Si l'assignation du directeur de publication, Xavier Monnier, est elle régulière, le tribunal a considéré qu'il n'était pas compétent. Il a estimé que seul un juge du fond a le pouvoir d'apprécier si les propos poursuivis sont ou non attentatoires à l'intimité de la vie privée.
   dom/mra/ed/jmg

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 08:56

Faut-il des statistiques "ethniques" ?


De quoi parle-t-on ?

Les statistiques dites "ethniques" n’ont d’ethnique que le nom. Il ne s’agit pas de mesurer les populations selon leur "ethnie" d’appartenance, le concept d’ethnie renvoyant à des petits groupes de populations partageant une culture commune (notamment une même langue). Ces statistiques cherchent à mesurer les populations en fonction de facteurs discriminants, notamment la couleur de la peau.


Les arguments pour :

Mesurer un phénomène permet de le rendre concret et d’attirer l’attention de l’opinion publique et des hommes politiques pour le résoudre. Ainsi, grâce à ces statistiques, on connaitrait le taux de chômage des noirs par rapport aux blancs quelle que soit leur nationalité, leur niveau de diplôme ou expérience, ce qui serait un signe de discrimination.

Les résultats d’opérations dites de "testing", réalisées à partir de candidatures similaires sauf sur le plan de l’origine supposée des candidats, ne permettent pas d’obtenir de données générales et de suivre leur évolution dans le temps. Elles dévoilent l’existence de discriminations dans un secteur et à un moment donné. Dans tous les cas, le problème est le même car il s’agit aussi de catégories "ethniques".

Le suivi d’indicateurs mesurant l’évolution de ce phénomène guiderait les politiques publiques dans le domaine de l’éducation, du logement ou de l’emploi notamment. Il permettrait éventuellement de mettre en place des politiques de "discrimination positive".

Connaître permet de comprendre les mécanismes. Quelle est la part du social, du diplôme ou de la couleur de la peau ? Ces statistiques pourraient contribuer à faire la part des choses, à remettre à sa juste place la question de la discrimination par rapport à d’autres formes d’inégalités dont sont victimes les étrangers ou les immigrés (précarité, moindre qualification, etc.).


Les arguments contre :

La couleur de la peau n’est pas une information objective et s’avère particulièrement difficile à apprécier. A partir de quel moment devient-on noir ? Suffit-il de se sentir soi-même noir ou doit-on utiliser un critère objectif ? Comment traite-t-on des populations métisses ?

Les statistiques "ethniques" conduiraient à penser la société à travers des communautés "culturelles" ou religieuses en oubliant le poids du social. En cela, elles pourraient avoir un effet "auto-réalisateur", c’est-à-dire contribuer à faire émerger des groupes qui n’existent pas en tant que tels.

Il existe un risque de dérapage dans la constitution et le traitement des fichiers. En effet, en cas de généralisation, il y aurait de grands risques d’utilisation à des fins néfastes envers les populations déjà victimes de discriminations.

Des informations sur l’origine des immigrés sont disponibles en France (échantillon démographique permanent tenu à jour par l’Insee) mais insuffisamment exploitées. En Europe, seul le Royaume-Uni utilise des catégories ethniques. Aux Pays-Bas, le suivi de l’état des discriminations s’effectue par l’origine géographique des personnes (par ex : Maghreb, Afrique sub-saharienne, Asie, Amérique du Sud).


Peut-on trancher le débat ?

1- Le Conseil constitutionnel semble avoir tranché contre dans l’état actuel de la Constitution française, même si la Commission nationale informatique et libertés autorise l’utilisation de données ethniques dans des enquêtes spécifiques et anonymes.

2- La prudence est requise. Aujourd’hui, ceux qui revendiquent la constitution de fichiers administratifs ou d’entreprises ne sont plus nombreux compte tenu des risques.

3- Reste la question des études scientifiques. Il faut remarquer qu’elles sont autorisées depuis longtemps. Si ces données n’existent pas, c’est que les chercheurs n’y ont pas vu un intérêt marqué. Mais ne faudrait-il pas mener des études de niveau national à intervalles réguliers pour permettre d’évaluer de façon précise le poids des différents facteurs ?
(dans l'observatoire des ingégalirés)
Un petit commentaire:
A mon avis nous n'avons pas besoin de mesurer des populations en fonctions de critères discriminants mais nous avons à mesurer les discriminations en fonctions des salariés et voire qui touchent ses discriminations, en aucun cas elles doivent servir à stigmatiser certains à cause d'une origine réelle ou supposée, d'orientation sexuelle, d'appartenence à une organisation syndicale, au genre ....

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 08:07
Les Etats-Unis soutiennent le processus de normalisation entre l’Arménie et la Turquie

lundi 22 février 2010, par Hakan


L’ambassadeur des Etats-Unis à Ankara, James Jeffrey, a déclaré mardi que les Etats-Unis ont étendu leur soutien global au processus de normalisation entre la Turquie et l’Arménie, a rapporté l’agence Anatolie.


L’ambassadeur des Etats-Unis à Ankara, James Jeffrey, a déclaré mardi que les Etats-Unis ont étendu leur soutien global au processus de normalisation entre la Turquie et l’Arménie, a rapporté l’agence Anatolie.


M. Jeffrey a fait ces remarques lorsqu’on lui a demandé si l’un des projets de loi qui seront examinés devant la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants des Etats-Unis en mars prochain, en ce qui concerne le "génocide" des Arméniens sous la domination ottomane en 1915,

Les Etats-Unis ont toujours placé au premier rang les relations avec la Turquie, a déclaré M. Jeffrey à la presse, avant de rencontrer le président de la commission des Affaires étrangères du parlement turc, Murat Mercan, et d’autres membres de cette commission.
allait saper l’offre de réconciliation entre l’Arménie et la Turquie.

 


M. Mercan a fait savoir que la commission informera M. Jeffrey de ses points de vue sur le projet de loi et discutera des derniers développements dans les relations américano-turques.

La Turquie et l’Arménie ont signé en octobre 2009 des accords historiques sur la normalisation de leurs relations et la réouverture de leurs frontières à l’issue de presque un siècle d’hostilité. Les accords doivent être ratifiés par les parlements des deux pays avant leur entrée en vigueur.

En janvier dernier, la cour constitutionnelle arménienne a repris les protocoles, mais a jugé que ceux-ci ne doivent pas violer la Déclaration d’Indépendance du pays, selon laquelle l’Arménie recherche toujours la reconnaissance des événements de 1915 comme un "génocide" au niveau mondial, ce que la Turquie récuse par des preuves historiques.

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 08:03
 
De nouveau un train entre l’Irak et la Turquie

lundi 22 février 2010, par Hakan


La ligne de chemin de fer entre Mossoul, dans le nord de l’Irak, et la Turquie est de nouveau en service après sept ans de fermeture.


Le premier voyage a eu lieu mardi avec 13 passagers entre Mossoul et la ville turque de Gaziantep, un trajet de 600 kilomètres qui a pris dix-huit heures, a précisé vendredi Akram Ahmed, responsable des chemins de fer dans le nord de l’Irak.

Il y a aura deux liaisons hebdomadaires. "Cela va renforcer les relations politiques et économiques entre la Turquie et l’Irak", a déclaré Ender Saritekin, vice-consul de Turquie à Mossoul.


La ligne construite au siècle dernier, du temps de la présence britannique en Irak, était fermée depuis l’invasion de l’Irak en 2003.

Lien/Source : Le Journal du Dimanche

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 07:58
« L’Arménie et l’Azerbaïdjan sont prêts à régler le conflit du HK d’après les principes de Madrid »

selon Kanat Saudabayev Président de l’OSCE


vendredi 26 février 2010
, par Hakan


Lors de l’intervention d’inauguration de la session hivernale du sommet de l’OSCE, le président en exercice de l’OSCE Kanat Saudabayev a conclu les résultats de ses visites faites en Arménie et en Azerbaïdjan, en exprimant un optimisme modéré face à la réalisation de « la feuille de route » du conflit du HK.


« A Erevan et à Bakou il y a eu lieu des échanges de fond et franches des avis avec les présidents de l’Arménie et de l’Azerbaïdjan. Les deux côtés considèrent comme positive la réglementation du conflit du HK d’après « les principes de Madrid ». Quant à nous, nous ferons tout le possible afin de contribuer au travail des coprésidents du groupe de Minsk de l’OSCE. En nous appuyant sur les résultats des visites effectuées dans la région et sur l’optimisme des côtés engagées au processus de la normalisation du conflit du HK, nous avons l’intention d’élaborer « une feuille de route » de la réglementation du conflit ».


Les couvertures médiatiques azerbaidjanaises lancent qu’en fait, Saudabayev a confirmé l’accord du président arménien à « des principes de Madrid ».

Par « Trend » de 7or

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 07:51
 Eurovision : Une chanson anti-turque présentée par l’Arménie ?
 
samedi 27 février 2010, par Hakan


Nous vous proposons de découvrir la traduction d’un article tiré du Radikal du 16 février 2010, sur la polémique autour de la chanson anti-turque qui représentera l’Arménie au prochain concours de l’Eurovision, à Oslo en Norvège.

On avance que la chanson représentant l’Arménie à l’Eurovision 2010, et interprété par Eva Rivas, contiendrait des allusions aux allégations arméniennes au sujet des événements de 1915.

La chanson intitulée "le noyau d’abricot" pour l’Arménie, représentée par Eva Rivas, lors du 55 ème Concours de l’Eurovision, qui se déroulera prochainement à Oslo en Norvège, renfermerait des allusions aux thèses arméniennes à propos des événements de 1915.


Dans les éliminatoires organisées par la télévision officielle arménienne AMPTV l’autre soir, parmi les neuf artistes ayant concouru, la chanteuse d’origine russe Eva Rivas a gagné son billet pour représenter l’Arménie, avec sa chanson intitulée "le noyau d’abricot" au 55ème Concours de l’Eurovision à Oslo.

Le concours a été suivi par Yakup Mutlu, qui est l’auteur des paroles d’une chanson pour la Moldavie. Mutlu qui suit l’Eurovision depuis 2003 a raconté que parmi les candidats, malgré les favoris pressentis que sont Emmy et Mihran, c’est finalement la chanteuse Eva Rivas, 22 ans, qui a remporté le concours avec sa chanson chantée en anglais, intitulée "le noyau d’abricot".


Lorsque l’on examine cette chanson après l’avoir traduit en turc, dit Mutlu, l’on se rend compte en fait qu’elle comprend des passages allusifs aux allégations arméniennes au sujet des événements de 1915, " Moi, je ne suis pas un anti-arménien, par contre "le noyau d’abricot" est une chanson qui donne vie de manière à peine voilée aux allégations arméniennes. "


Yakup Mutlu
, prétend que dans la première strophe les paroles " Il y a longues années, lorsque j’étais un petit enfant / Ma mère me disait que notre monde était cruel et sauvage / Mais toi tu peux te frayer ton chemin malgré le froid et la chaleur " rappellent le déplacement des Arméniens en 1915 et les chemins qu’ils avaient empruntés.


Dans la continuité de la chanson " De ma mère patrie m’a été donné un noyau d’abricot que je cache dans ma main / Un noyau d’abricot que je laisserai tomber sur une terre gelée / Laisse le germer / De ma mère patrie m’a été donné un noyau d’abricot ", dans ces paroles dit Mutlu, le terme mère patrie renvoie à la Turquie.

Mutlu dit que les paroles " Maintenant je vois les étoiles du Nord / Elles brillent de tout leur éclat dans la tempête / Il n’y a que Dieu pour te réchauffer / Maintenant je n’ai pas peur des vents violents / Ils peuvent souffler, mais ils ne gagneront pas " font allusion à la Turquie.


Yakup Mutlu a rajouté qu’avec les paroles " Peut-être que l’hiver ne viendra pas pendant la journée et la nuit du jour de la cueillette / Peut-être que Dieu bénira et protégera ce fruit béni / Il élèvera mon arbre vers le ciel /Je fis un signe à ma maison / Au revoir / Moi je voudrais juste revenir à mes racines " on fait croire que les Turcs les ont expulsés de leur patrie, lorsqu’ils font signe un signe de la main et détruit leurs racines et qu’ils voudraient y revenir.

Mutlu a précisé que le compositeur de la chanson était Armen Martirosyan, et les paroles de Karen Kavaleryan.


Rappelons que les chansons à caractère politique sont prohibées à l’Eurovision. Il me semble d’ailleurs que la Georgie en avait fait les frais dans le passé, pour avoir voulu présenter une chanson visant la Russie.

Traduction par Egeli Iskender pour Turquie News.
Lien/Source :
Radikal

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 07:33

 

Le débat sur l’avenir des retraites porte sur un enjeu de civilisation. Il conditionne une large part du mode d’existence de chaque être  humain, du petit enfant à la personne âgée. Il doit être relié à un défi essentiel : la sécurisation de la vie de chacune et de chacun. C’est pourquoi l’âge du départ en retraite et le  financement de cette période de la vie  recoupent une multiplicité de questions telles que l’emploi, le partage des richesses produites, l’avenir des jeunes et l’activité de celles et ceux qui accèdent à une retraite bien méritée après avoir contribué au développement économique, social, humain, de la collectivité. Ce droit doit être pleinement inscrit dans les mutations de la société. Et les interrogations nouvelles surgissant sur la place et sur l’utilité sociale de celle ou de celui qui accède à la retraite, doivent trouver des réponses en fonction des désirs de chacun.

Osons affirmer une évidence cachée. Les premières victimes d’une nouvelle « contre réforme » des retraites seraient les jeunes. Reculer l’âge de départ en retraite aggraverait encore leur chômage qui  touche déjà près du quart d’entre eux.  La question peut donc être posée ainsi : vaut-il mieux qu’une personne de 60 ans soit à la retraite ou qu’un jeune de 25 ans soit au chômage ? Du point de vue de l’épanouissement humain et de la qualité d’une société, la réponse est oui. Du point de vue des grands de la finance la réponse est non.

 

 

Osons aussi redire que la crise a montré que l’avenir est bien du côté de la protection sociale, de la sécurité de vie, pas du côté d’un système d’assurance privée et de retraite basé sur l’individualisme et les logiques financières. En effet, les sociétés qui jusque là résistent le moins mal à la crise sont celles où le niveau de services publics et de protection sociale est élevé.

Le projet humain moderne, dans une société du vivre ensemble, incluant cette indispensable sécurité de vie, passe par la régénération du système de retraite par répartition, à l’opposé d’un système dit par capitalisation où seuls celles et ceux qui peuvent se payer une retraite peuvent y prétendre. L’avenir ne saurait être du côté de ces retraités qui viennent de tout perdre  avec la faillite de leurs fonds de pension.

Le pouvoir sarkozyste et le grand patronat, la main dans la main, tentent de tronçonner ce débat pour mieux diviser les générations.  Conscients de la fragilité de leur argumentation et redoutant le développement d’un mouvement social au lendemain des élections régionales, ils ont changé de tactique et font mine de vouloir consulter les syndicats. Le gouvernement veut mettre ce temps à profit pour développer une puissante campagne idéologique pour une pédagogie de l’acceptation de ses choix antihumanistes.

Il cherche à susciter l’angoisse pour faire croire qu’il n’y aurait pas d’autres choix que de reculer l’âge de la retraite, d’abaisser le niveau des pensions ou encore d’augmenter les cotisations retraites. Vous parlez d’un choix qui se traduirait par du pire alors que nos concitoyens aspirent à du mieux ! Un mieux que le développement même de la société et les progrès de la productivité du travail avec les évolutions technologiques permettent. Face à la désinformation permanente, dangereuse pour le débat démocratique lui-même, la confrontation des points de vue,  la plus approfondie et honnête possible, est nécessaire.


Prenons plusieurs questions :


Constatons d’abord que cela fait des années que, de contre réforme en contre réforme réactionnaire, le  droit à la protection sociale et à la retraite, imaginé par le ministre communiste Ambroise Croizat, puis conforté avec la retraite à 60 ans par le gouvernement de gauche de 1981, est entamé.  Chaque fois on nous dit : cela  ira mieux demain. Et chaque fois, un pas de plus est fait dans le sens du recul social. La droite et le sarkozysme,  abaissant les cotisations patronales, poussant aux heures supplémentaires, exonérant de cotisations sociales, autorisant le cumul emploi-retraite sans limite de revenu, mènent à de dramatiques impasses, à un véritable recul de civilisation.


Est-ce que le financement des retraites est mis en cause par l’augmentation du nombre de retraités ? L’apparence conduirait à répondre oui. C’est vrai qu’au début des années 1960, la part de la valeur des richesses servant à payer les retraites était de près de 5,6%. Elle est passée à plus de 13% en 2007. Mais ce sont les gains de productivité du travail qui l’ont permis sans que l’économie en souffre. De 1960 à 2008, la productivité horaire du travail, combinée aux avancées technologiques a augmenté de 70%. Mais la part des salaires dans la valeur ajoutée des sociétés non financières a diminué de 8,8%. Par contre, la part des profits a augmenté exactement de ce même montant, 8,8%. Et à l’intérieur de cette part, celle consacrée au versement de dividendes aux actionnaires est passée de 3,1% à 8,4%. Il s’agit bien d’une accentuation de l’extorsion de plus-values par les détenteurs de capitaux sur le dos des travailleurs.

Le conseil d’orientation des retraites évalue à 0,3% le gain de productivité annuel nécessaire pour maintenir le rapport entre le revenu moyen des retraités et celui des actifs pour le demi-siècle à venir. Or, ce même conseil, s’appuyant sur des prévisions officielles, évalue le gain de productivité annuel  possible à 1,8%.

Derrière les projets de contre réformes se cache donc un débat plus fondamental. A qui profite la valeur ajoutée produite dans ce pays ? Aux actionnaires, aux revenus financiers parasitaires ou à la société, aux créateurs de richesses que sont les travailleurs manuels et intellectuels ? Telle est l’alternative. Tel est le niveau du débat à mener.


Les taux de cotisations employeurs sont-ils si élevés qu’ils pénaliseraient l’emploi ? Comme nous venons de le dire, les taux de cotisations patronales n’ont cessé de diminuer et les exonérations de se multiplier. Parallèlement le chômage et la précarité n’ont cessé de progresser.

C’est au contraire le haut niveau de protection sociale et de services publics qui a permis le développement du pays. Le niveau d’emploi et de salaire est une question décisive pour la protection sociale.  

Une augmentation des rémunérations du travail et la sécurisation des parcours professionnels pour abolir le chômage, annuleraient tous les déficits des caisses de protection sociale et de retraite. Ce qui menace les retraites, ce n’est pas l’allongement de l’espérance de vie, c’est le niveau du chômage et de la précarité.


L’argent existe-il donc ? Voilà le cœur de la bataille. A quoi sert l’argent ? A enrichir quelques uns ou est-il utile à l’ensemble des individus pour un mieux être de l’ensemble de la société ? Posons d’abord ce principe fondamental.

A l’opposé de la société dite « du risque » de Mme Parisot, nous sommes au siècle où il convient de faire de la sécurisation des parcours de la vie humaine, de la naissance à l’école, à l’apprentissage, au métier, jusqu’à la retraite et à la dépendance, le cœur d’un nouveau pacte social progressiste et humain.

La totalité des exonérations fiscales et sociales, certains avantages fiscaux indus accordés à une certaine épargne par capitalisation représentent 140 milliards d’euros chaque année. Si on mettait les revenus financiers, qui ne participent pas au financement de la protection sociale, à contribution, il n’y aurait aucun déficit. Cela rapporterait au moins 22 milliards d’euros. Une grande politique de recherche et d’industrie permettrait de solidifier les caisses de protection sociale et de retraite. 100 000 emplois, ce sont 2 milliards de cotisations sociales de plus.


Derrière l’enjeu du financement de la retraite, il y a  en fait celui de la nature de notre vie en société. Il pousse à un réexamen des choix comme ceux des heures supplémentaires, du retour aux 35 heures, du contrat de travail sécurisant contre la précarité du travail et de l’activité des individus, de leur pénibilité physique et psychique, de la formation tout au long de la vie, du rôle nouveau des retraités de passeurs de connaissances, d’expérience pour les nouvelles générations.  Nous souhaitons ce débat public, politique au sens noble du terme puisque traitant  du devenir de nos sociétés.

Fort des expériences passées et compte-tenu de ces enjeux décisifs, l’Humanité Dimanche va aider à mener, semaine après semaine, ce débat fondamental au service du combat pour la justice, l’égalité, le mieux vivre ensemble.

Pour lire l’autre article concernant ce sujet cliquez sur le titre :

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28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 21:20

Objet : [Gisti-info] Lettre ouverte au secrétaire d’Etat aux affaires européennes : Les Roms roumains, citoyens de l’Union européenne, ont comme tous les autres le droit de circuler et de s’installer dans tous les pays d’Europe [Action collective]
 

Action collective

Lettre ouverte au secrétaire d’Etat aux affaires européennes



Monsieur Pierre LELLOUCHE
Secrétaire d’Etat aux Affaires Européennes 
Ministère des Affaires Etrangères
37 Quai d’Orsay 
75351 Paris 
Cedex 07

Paris, le 23 février 2010

 Monsieur,

 Nos organisations interviennent depuis des années auprès de familles roms roumaines qui vivent dans des conditions de grande précarité, en soutien et en défense de leurs droits. Cette expérience ancienne nous conduit à des constats partagés sur la complexité et la diversité du phénomène migratoire. Nous souhaitons ainsi réagir aux déclarations faites à l’occasion de votre visite en Roumanie les 11 et 12 février qui avait pour objet de susciter une mobilisation commune franco-roumaine pour « endiguer les allers-retours » de Roms roumains en France.

 Nous contestons en effet deux affirmations récurrentes dans vos propos :


1) La migration en France des Roms de Roumanie correspondrait à un trafic d’êtres humains qui toucherait des enfants et des personnes âgées

 Ces assertions sont fausses et dangereuses. Elles généralisent intentionnellement des phénomènes que nos associations, dont certaines sont spécialisées dans la protection des victimes de la traite, connaissent pour être extrêmement marginales dans l’ensemble de la population rom présente en France, tout comme, d’ailleurs, dans n’importe quelle autre population. Nous ne nions pas qu’un certain nombre de personnes se trouvent contraintes de recourir à la mendicité pour assurer les besoins quotidiens de leur famille, mais l’idée d’une mendicité orchestrée par des réseaux criminels relève bien davantage du fantasme et des représentations xénophobes attachés aux Roms et Tsiganes que de la réalité. Par ailleurs, les rares familles qui ont accès à des ressources minimales, par les revenus du travail, se détachent des activités de mendicité, envoient leurs enfants à l’école et s’intègrent rapidement. Enfin, la communication par le chef de cabinet du préfet de police de Paris de « statistiques », non-officielles et illégales, établies sur une base ethnique (« 40% des Roms mis en cause pour des délits à Paris seraient mineurs ») renforce ces stéréotypes.


En lien avec une coalition d’associations roumaines qui ont réagi très vivement (voir communiqué joint) aux déclarations – qualifiées de racistes – du ministre des Affaires étrangères roumain, Teodor Baconschi, à l’issue de sa rencontre avec votre délégation, nous nous élevons ainsi contre la diffusion dans l’opinion publique, sous couvert d’actions en faveur de l’intégration des Roms, d’amalgames graves qui ancrent plus profondément encore les représentations négatives au fondement de la discrimination en France et en Roumanie. Vous avez affirmé le 5 décembre dernier sur France Culture : « Depuis 2007, les villes de France […] sont envahies de Roms qui campent à même le trottoir. [ …] Trafic d’enfants, personnes âgées qu’on pose le matin pour mendier. C’est tout sauf un problème humanitaire, ce sont des trafiquants de personnes, par villages entiers. » Nous indiquerons qu’à ce jour ce phénomène migratoire n’a rien de massif et que les chiffres sont stables depuis 2002-2004 (entre 10 000 et 15 000 personnes en France). Qui peut encore sérieusement faire croire à une « invasion » ? Si les familles en viennent à « camper sur le trottoir », c’est qu’elles sont incessamment expulsées de leurs lieux de vie, sans aucune proposition de relogement.


Aussi, ce que nous dénonçons aujourd’hui à l’origine d’une précarisation grandissante des populations roms, dont la conséquence ultime s’observe en effet dans les quelques situations exceptionnelles de traite, de délinquance ou de prostitution que nous connaissons, c’est en premier lieu le traitement discriminatoire et la maltraitance institutionnelle de ces populations sur le sol français, largement reconnus par la délibération de la HALDE n° 2009-372 du 26 octobre 2009. Cette maltraitance, fondée sur une méconnaissance totale des réalités de terrain et des préjugés profondément ancrés vis-à-vis des Roms, est multiple :

  • celle du gouvernement français qui a choisi de maintenir des restrictions empêchant de fait l’accès des Roumains et Bulgares au marché du travail salarié ;
  • celle de l’Education Nationale qui n’a pris jusqu’à maintenant aucune mesure pour assurer la scolarisation effective et durable de 5 000 à 7 000 enfants roms roumains et bulgares exclus de l’école en France
  • celle des conseils généraux qui, pour la plupart, refusent tout aide matérielle pour subvenir aux besoins élémentaires des enfants comme ils y sont obligés au titre de l’aide sociale à l’enfance dans la mesure où leur famille ne bénéficie d’aucune ressource ou prestation sociale ;
  • globalement, celle des services de l’Etat et des collectivités locales qui n’apportent d’autre réponse au développement de l’habitat indigne que l’évacuation systématique des squats et bidonvilles sans solution de relogement

2) Ces migrations seraient « clandestines », a fortiori lorsque les personnes reviennent en France après avoir été reconduites une première fois

Nous sommes extrêmement choqués par cette assertion réitérée qui passe totalement outre la citoyenneté européenne des personnes.

 Les aides au retour humanitaire sont, comme leur nom l’indique, des aides au retour et non des aides à la réinsertion dans les pays d’origine, ce que leur faible montant et l’absence d’accompagnement social à l’arrivée ne permettrait d’ailleurs en aucune façon. La France est d’autre part malvenue de se plaindre d’éventuels détournements de sommes qu’elle continue à verser en connaissance de cause et dont l’effet principal, maintenant bien connu, est de gonfler les statistiques des reconduites à la frontière.


Quoi qu’il en soit, il est absolument certain que les mesures d’éloignement prises à l’encontre des Roms roumains présents en France, assorties ou non du bénéfice d’une aide au retour humanitaire, n’impliquent aucune restriction de la liberté de circulation, qui constitue l’un des droits fondamentaux des citoyens de l’Union les mieux encadrés par le droit communautaire. Cela signifie qu’ils ont de façon permanente le droit de quitter leur pays, munis d’une seule pièce d’identité (Directive 2004-38, article 4) et d’être admis dans n’importe quel Etat membre de l’Union européenne (article 5). Ce droit ne peut être limité par les Etats membres que « pour des raisons d’ordre public, de sécurité publique ou de santé publique » dans des cas où le comportement individuel de la personne concernée « représente une menace réelle, actuelle et suffisamment grave pour un intérêt fondamental de la société. » (article 27). Toute disposition que prendrait la France ou la Roumanie pour interdire, même temporairement, l’accès d’un ressortissant Roumain au territoire français, hors de ces cas strictement limités, constituerait un manquement particulièrement grave à l’obligation des Etats de l’UE de respecter le droit communautaire. Un arrêt récent de la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE Jipa, 10/12/2008, C-33/07) a d’ailleurs rappelé qu’un Etat membre ne peut imposer des limitations à la liberté de circulation, même pour des raisons d’« ordre public » ou de « sécurité publique », que s’il établit de manière spécifique, « conformément au principe de proportionnalité et sur le fondement exclusif du comportement personnel de l’individu intéressé, que l’exercice par celui‑ci du droit de quitter son propre État membre en vue de se rendre dans un autre État membre peut constituer une menace réelle et suffisamment grave pour l’ordre public, affectant un intérêt fondamental de la société ».

 Le gouvernement français ne peut donc pas exiger de la Roumanie qu’elle garantisse que les Roms ne reviennent pas en France après avoir été reconduits, sauf à se rendre complice de pratiques illégales. Dans le même sens, nous exprimons notre très vive préoccupation à la lecture du projet de loi actuel de réforme du droit des étrangers instituant une nouvelle mesure administrative d’interdiction temporaire de retour, puis que le texte n’exclut pas les ressortissants communautaires de son champ d’application de manière explicite.


 Les Roms roumains, citoyens de l’Union européenne, ont comme tous les autres le droit de circuler et de s’installer dans tous les pays d’Europe. Avant de s’impliquer dans une hypothétique politique de réinsertion en Roumanie, le gouvernement français est donc responsable au premier chef de développer une politique d’insertion en France et de garantir le respect de la dignité des personnes et de leurs droits.

 Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Secrétaire d’Etat, l’expression de notre haute considération.

Pour le Collectif National Droits de l’Homme Romeurope,

 Alexandre LE CLEVE

  Signataires :

  • Collectif National Droits de l’Homme Romeurope
     ABCR (Association Biterroise Contre le Racisme) – ALPIL (Action pour l’insertion sociale par le logement) – AMPIL (Action Méditerranéenne Pour l’Insertion sociale par le Logement) – ASAV (Association pour l’accueil des voyageurs) – ASET (Aide à la scolarisation des enfants tsiganes) – ASFR (Association de Solidarité avec les Familles Roumaines) – CIMADE (Comité intermouvements auprès des évacués) – CLASSES (Collectif Lyonnais pour l’Accès à la Scolarisation et le Soutien des Enfants des Squat) – CAM (Comité d’Aide Médicale) – FNASAT-Gens du voyage – CCFD (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement) – Hors la Rue – Imediat – LDH (Ligue des Droits de l’Homme) – Liens Tsiganes – MDM (Médecins du Monde) – MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples) – Mouvement catholique des gens du voyage – PARADA – PROCOM – Rencontres tsiganes – RomActions – Réseau de solidarité avec les Rroms de St Etienne – Romeurope Val-de-Marne – Secours Catholique - SICHEM (Service de Coopération Humanitaire pour les Etrangers et les Migrants) – Une famille un toit 44 – URAVIF (Union régionale des associations voyageurs d’Ile-de-France)
    >Et les Comités de soutien de Montreuil, du Nord-ouest parisien, de St Michel-sur-Orge, de Meudon, le Collectif nantais Romeurope, le Collectif Rroms des associations de l’agglomération lyonnaise, le Collectif de soutien aux familles roms de Roumanie, le Collectif des sans papiers de Melun, le Collectif dijonnais de soutien aux Roms
  • Gisti
  • Rues et Cités

 


> http://www.gisti.org/spip.php?article1898
>


 

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28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 20:55
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