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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 18:49
La CGT solidaire de l’Union Générale des Travailleurs Tunisiens

lundi 27 février 2012

 

La CGT condamne les attaques orchestrées qui ont eu lieu ces derniers jours contre des bureaux locaux et le siège national à Tunis de l’UGTT.

Une campagne hostile se développe contre celle-ci visant à la discréditer aux yeux de l’opinion publique et ceci en lien évident avec la grève générale des employés municipaux qui s’opposent à la remise en cause des accords signés entre l’UGTT et le gouvernement transitoire.

 

La liberté syndicale et le droit de grève font partie des droits fondamentaux des travailleurs reconnus internationalement.

La CGT demande instamment au gouvernement tunisien de faire respecter ces libertés et d’agir pour mettre fin à ces agressions.

 

La CGT apporte tout son soutien et sa solidarité à l’UGTT et à son appel pour que soient « entrepris les efforts nécessaires requis afin de traiter les problèmes fondamentaux de nos populations : garantir la sécurité, protéger les biens publics, traiter la situation économique difficile, assurer un emploi stable et décent à tous et faire face à toutes les formes d’emploi précaires et enfin lutter contre la flambée des prix et ce à travers un dialogue responsable et transparent entre les partenaires sociaux ».

Montreuil, le 27 février 2012

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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 18:39

 

Politique - le 14 Février 2012

 

Grèce: signez la pétition à l'initiative de l'Humanité

 

 

 

 

 

 

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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 18:32
Retour à l'accueil
Fondation Gabriel Péri

 

La séance inaugurale du premier séminaire commun avait pour thème « Regards croisés sur les archives des partis communistes français et italien ». Elle s’est tenue dans les locaux de la fondation Gabriel Péri le mardi 6 décembre 2011.

Intervenants :

  • Michel Maso, directeur de la Fondation Gabriel Péri
  • Frederick Genevée, docteur en histoire, responsable PCF pour les archives
  • Pierre Boichu, assistant de conservation du patrimoine Archives départementales de la Seine-Saint-Denis
  • Giovanna Bosman, responsable des archives de la Fondation Istituto Gramsci de Rome
  • Cristiana Pipitone, docteur en histoire, archiviste à la Fondation Istituto Gramsci de Rome

Coordination de la discussion : Serge Wolikow, directeur de la Maison de Sciences de l’Homme de Dijon

 

L’objectif de cette première séance était celui de développer une réflexion croisée sur les archives du PCF et du PCI. En effet, les archives qui ont été deux les plus importants partis communistes de l’Europe Occidentale représentent une des principales ressources archivistiques pour l’histoire du mouvement ouvrier italien et français mais aussi un ensemble de sources indispensables pour l’étude du mouvement communiste du XXème siècle comme pour l’histoire nationale de la France et de l’Italie.

Les quatre relations portent sur la structure des archives et sur la description de certains fonds, les intervenants insèrent les phases du processus de formations des archives dans le cadre de l’histoire des PC, également ils soulignent que les lacunes et les éléments de richesse des fonds sont souvent liées à l’histoire des partis et à leur place dans le mouvement communiste.

 

A partir de la reconstruction de l’histoire des archives nous pouvons mieux comprendre les analogies et les différences de la conception que les deux partis communistes ont du patrimoine archivistique et des politiques de conservation mises en place ces dernières années en Italie et en France en collaboration avec les institutions publiques pour la valorisation des archives.

 

En même temps, il émerge le profil culturel des deux organisations et leur structure de fonctionnement ; les dimensions multiples de l’histoire du communisme ; par exemple le rôle des deux partis communistes dans l’histoire nationale et européenne ou les rapports avec l’Union Soviétique conditionnent la structure des archives d’organisation et déterminent l’hétérogénéité des fonds personnels. Les diversités des archives françaises et italiennes mettent ainsi en évidence les différences culturelles et politiques entre le PCF et le PCI.

 

Enfin, le séminaire montre comment l’usage que les communistes français et italiens font du patrimoine archivistique, et l’importance que lui est attribuée dans la politique culturelle, dépendent du rapport des deux partis communistes avec leur histoire et il est lié au rôle que la mémoire historique occupe dans la formation idéologique des militants et dans la construction de l’identité partisane.

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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 18:25
Retour à l'accueil
Fondation Gabriel Péri

Avec la participation de Frédéric Imbrecht, dirigeant national de la CGT, en charge des questions européennes.

 

Mardi 28 février 2012, 15h - 17h
Fondation Gabriel Péri
11 rue Étienne Marcel, Pantin
métro ligne 5, station Hoche

 
Entrée libre. Le nombre de places étant limité, il est recommandé de s’inscrire par mail à l’adresse : inscription@gabrielperi.fr

Alors que la crise s’aggrave en Europe, l’Allemagne tire son épingle du jeu. Le taux de chômage y est plus faible, les salaires augmentent, la compétitivité y serait meilleure. Présenté comme un modèle de réussite économique, l’exemple allemand devrait inspirer et justifier l’ensemble des réformes ailleurs en Europe et notamment en France.

 

Le rôle qu’entend jouer l’Allemagne au sein de l’Europe, notamment dans le domaine budgétaire, pose pourtant question. Quelles sont les réalités des dépenses publiques, du déficit et du marché du travail allemands ? Cet effet de mode résiste-il à l’examen scrupuleux des réalités telles qu’elles sont vécues en Allemagne ?

 

Thomas Händel, député européen et syndicaliste, nous permettra de démêler les mythes des réalités de ce qui est présenté comme le « modèle » allemand. Frédéric Imbrecht, dirigeant national de la CGT, en charge des questions européennes, apportera son éclairage du point de vue de la France.

 

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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 18:21

L’insulte faite au peuple de France

M. Sarkozy,  devenu fabricant de référendum pour casser les chômeurs ou les immigrés, vient de se faire prestidigitateur afin d’éviter un référendum sur les deux nouveaux traités européens. Il propose un référendum sans risque sur l’Euro, pas sur son contenu, son rôle, son existence. Autant demander si la nuit il fait noir ? Et il refuse cette consultation populaire sur la base du plus grand mépris. « S’agissant d’un traité de 200 articles je ne vois pas la question claire ». Ainsi, le prétendu candidat du peuple prend-il nos concitoyens pour des incultes, incapables de comprendre ce qui engage gravement leur avenir ?

 

Voilà qui est clair ! Il ne fait pas confiance aux Français pour se déterminer sur des traités européens relatifs à des abandons de souveraineté, à la surveillance des budgets de la nation et de la sécurité sociale et aux sanctions si un État n’applique pas l’austérité.

Décidément le voile tombe. Sarkozy est bien le Président et le candidat des marchés financiers.

 

Ne laissons pas faire ! Appelons les sénateurs de gauche à refuser ce mardi le « mécanisme européen d’austérité » et réclamons un référendum sur les deux traités européens.

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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 18:00
Le samedi 03 mars prochain, un important évènement est organisé par plusieurs partenaires. Il s'agit d'un colloque régional sur la lutte contre les discriminations dont SOS Racisme est partenaire. Pour plus d'informations, merci de consulter les documents en pièces jointes. Pour ceux qui souhaitent y participer, merci de vous inscrire vers le lien ci-dessous avant ce vendredi 24 février, et de me confirmer votre présence.
 
L'évènement aura lieu à l'ENS de Lyon. Nous vous proposons de nous retrouver au local de SOS Racisme Rhône, 10 rue de l'Epée, 69003 Lyon, à 9h00. Merci de votre ponctualité.
Cet évènement d'une ampleur régionale et à quelques semaines des échéances électorales est d'une importance cruciale et il est important que la dynamique régionale de SOS Racisme soit illustrée par la présence de nombreux militants. On compte sur vous !
En pièces jointes:
- Un dossier de présentation actualisé (en PJ), 
- Une invitation papier avec le programme de la journée + coupon réponse (en PJ),
- Un lien vers l'e-mailing d'invitation : http://publicisactiv-services.com/LCD/index.html
- Un lien vers le site Internet de l'évènement, avec formulaire d'inscription en ligne : www.lcd3mars2012.fr (les inscriptions sont gratuites, et se font via le site Internet ou par retour du coupon réponse).Le programme en bref (programme complet sur www.lcd3mars2012.fr)
Présetation du programme:
 
SAMEDI 3 MARS 2012
10h00 : accueil des participants, avec un parcours expérientiel marquant
 
11h30 : table ronde en plénière 
 
13h00 à 15h30 : cocktail déjeunatoire, espace militant, café débat autour de différents thèmes, théâtre forum en accès libre
 
16h00 : plénière de clôture en présence des élus
En fil rouge sur la journée, un mur de proposition à enrichir, qui sera dévoilé aux élus lors de la plénière de clôture.
 
Comme vous le verrez dans le dossier de présentation en PJ, cet évènement se veut décalé, participatif et délibératif
Merci de faire suivre ce mail à vos bénévoles.
--
Marine-Alisée Charpiot

Secrétaire Générale
SOS Racisme Rhône-Alpes
marine.sosracismerhonealpes@gmail.com



 

Non coché
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26 février 2012 7 26 /02 /février /2012 20:48
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26 février 2012 7 26 /02 /février /2012 20:29

http://www.temoignages.re

Le PCR appelle à la solidarité la plus large

25 février 2012

Depuis mardi soir, La Réunion connaît des émeutes. Hier dans une conférence de presse tenue quelques heures avant la table-ronde en Préfecture (voir page suivante), le Parti communiste réunionnais a appelé à la solidarité la plus large envers la population qui manifeste et envers les victimes d’une politique qui produit des inégalités, du chômage et des affrontements. Les candidats à la présidentielle sont au pied du mur, ils vont venir faire campagne à La Réunion, ils devront dire quelles sont leurs propositions pour faire face à l’urgence sociale.


 

<p>Fabrice Hoarau, Élie Hoarau, Paul Vergès, Maurice Gironcel et Yvan Dejean ont présenté une proposition du PCR pour répondre à l'urgence sociale : 200 euros tout de suite pour les plus pauvres, comme en Guadeloupe en 2009. (photo Imaz Press Réunion)</p>

Fabrice Hoarau, Élie Hoarau, Paul Vergès, Maurice Gironcel et Yvan Dejean ont présenté une proposition du PCR pour répondre à l’urgence sociale : 200 euros tout de suite pour les plus pauvres, comme en Guadeloupe en 2009. (photo Imaz Press Réunion)

 

Solidarité avec le peuple en lutte

Fabrice Hoarau, Élie Hoarau, Paul Vergès, Maurice Gironcel et Yvan Dejean ont expliqué les propositions du PCR pour faire face à l’urgence sociale qui s’exprime vigoureusement depuis le début de la semaine.
60% des jeunes au chômage, 122.000 illettrés, pénurie de logements, la moitié de la population en dessous du seuil de pauvreté : c’est toute l’illustration de l’impasse de la politique du gouvernement : la conjonction de ces facteurs crée une situation explosive et il n’y a pas d’astuce pour s’en sortir.
La population en a bien conscience, et devant l’impuissance des instances, des élus, la moitié de la population se sent totalement abandonnée et quand ils prennent la parole, c’est l’effroi dans le monde politique.
« Notre solidarité est totale, sans réserve, avec cette moitié de la population », souligne Paul Vergès, « c’est le début de cette prise de parole, nous ne pouvons qu’encourager cette prise de parole, il faut qu’ils parlent, ce sont les sans-voix qui entrent sur la scène politique et qui effraient tellement le gouvernement et les élus ».
La campagne présidentielle est lancée, et les candidats vont venir dans notre île, « on attend leurs solutions, que vont-ils nous proposer ? »


Le pouvoir entretient l’inégalité

À La Réunion, les pauvres, les retraités, n’ont que 400 euros pour vivre. Ils manifestent et ils se font attaquer par des personnes payées 53% plus cher qu’en France. Combien ça coûte de faire venir des renforts de France, interroge le PCR.
Il n’y a pas de symbole plus fort qu’un pouvoir qui fait venir de 10.000 kilomètres des gardes mobiles qui viennent grenader des pauvres qui manifestent. Le PCR a dénoncé l’apartheid en Afrique du Sud, c’était un apartheid raciste. À La Réunion, c’est un apartheid social, le pouvoir ne veut pas entendre les pauvres et quand ils s’expriment il les pourchasse.
Capturés par des fonctionnaires qui touchent la prime de vie chère, ces chômeurs sont condamnés par des magistrats surémunérés. Ce schéma doit éclater, dit en substance le PCR.
Le PCR constate aussi que le gouvernement a décidé de protéger les grandes surfaces, et le dépôt de la SRPP ce qui laisse les petits commerçants à la merci des débordements. C’est bien la preuve que le pouvoir protège les intérêts des monopoles.


200 euros tout de suite c’est possible

Voici 3 ans, alors qu’en Guadeloupe la crise était moins importante qu’actuellement à La Réunion, l’État était intervenu pour verser une prime de vie chère de 200 euros aux travailleurs pauvres.
À La Réunion, le PCR vient de demander une prime de vie chère de 200 euros pour les plus pauvres pendant 4 mois. Les Réunionnais seront-ils moins bien traités que les Guadeloupéens.


Un Réunionnais n’est pas un étranger dans son pays

La Réunion est un petit pays de 70 kilomètres sur 40. Comment dire que des participants aux manifestations peuvent être étrangers à un quartier ? Paul Vergès rappelle que quand il y eut la prise de la Bastille ou la manifestation de Charonne, est-ce que les habitants de ces quartiers disaient que les manifestants étaient des étrangers ?


Les pétroliers protégés par le gouvernement et Didier Robert

Aussi bien le gouvernement que le président de Région prennent la défense des pétroliers. La porte-parole du gouvernement dit que les prix des carburants dépendent de facteurs sur lesquels on ne peut avoir de prise, ce qui dédouane les compagnies pétrolières de leurs responsabilités.
Quant à Didier Robert, il veut que les collectivités financent une baisse des prix au lieu de mettre la pression sur les pétroliers pour qu’ils baissent leur profit.
Cela soulève un autre problème, comment Didier Robert peut-il faire une proposition engageant les communes sans qu’elles soient d’accord ? L’idée est de prendre 24 millions prévus pour l’investissement dans les communes. Didier Robert oublie-t-il qu’il ne peut y avoir de tutelle d’une collectivité sur une autre ?


Qui remplira les cuves du nouveau centre de stockage ?

Le président de la Région propose que les collectivités paient la construction d’un centre de stockage.
Les compagnies pétrolières se sont unies pour utiliser le dépôt de la SRPP, ces compagnies sont les majors. Qui viendra remplir le nouveau dépôt ? Ou Didier Robert est inconscient, ou alors il est complice des pétroliers en organisant la diversion, indique Paul Vergès.

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26 février 2012 7 26 /02 /février /2012 20:10
Libération d’un des 97 journalistes emprisonnés

vendredi 24 février 2012, par F. Dayan

 

La libération de Dogan Yurdakul, un des 97 journalistes turcs actuellement emprisonnés suite à des opérations anti terroristes décrétées par le gouvernement d’Ankara, a été saluée par le syndicat national des journalistes CGT.

 

Le SNJ-CGT avait pris l’initiative, dans le cadre de la campagne lancée par la Fédération européenne des journalistes (FEJ), de "parrainer" Dogan afin de lui témoigner la solidarité et de tout mettre en œuvre avec les syndicats turcs de journalistes et ses défenseurs afin qu’il puisse au plus vite recouvrer la liberté et reprendre son activité professionnelle. Le SNJ-CGT estime que "cette première victoire montre que la lutte et la solidarité sont payantes. Nous resterons vigilants pour la suite concernant Dogan Yurdakul.


Mais il est clair que pour le SNJ CGT il faut continuer le combat et obtenir la remise en liberté de tous les journalistes injustement détenus.


Les autorités turques doivent se résoudre enfin à ce que le droit à l’information soit assuré de façon pleine et entière et qu’elles libèrent les journalistes qui sont emprisonnés."


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26 février 2012 7 26 /02 /février /2012 20:01

Collection :
Revue S/A

Parution : 17/02/2012
ISBN : 978-2-36512-005-0
224 pages
14 x 20,5
15 euros

2012 : les sociologues s’invitent dans le débat


Collectif

L’expérience de la collection Savoir/agir révèle la richesse et l’originalité des analyses proposées par des intellectuels critiques. Or ceux-ci, plus familiers avec la description et l’explication du réel qu’avec l’élaboration de programmes, ne sont pas à l’aise dans une conjoncture électorale. Mais, précisément pour cette raison, ils ne sont pas nécessairement mal placés pour faire ce qu’eux seuls sont en mesure de faire. A savoir d’une part, faire un diagnostic synthétique de l’état des choses dans un domaine de leur compétence ; d’autre part, énumérer un certain nombre de points qui leur semblent décisifs pour ce que pourrait être une politique de gauche. L’exercice de militantisme intellectuel proposé ici a quelque chose de paradoxal. Alors que la gauche de gauche se voit d’ordinaire associée à des idées dites maximalistes, il s’agit de favoriser sur des points précis, la formulation de principes d’action en deçà desquels une gauche digne de ce nom ne pourrait que se déjuger : non pas placer la barre très haut, la placer plutôt, au minimum, un minimum qui pourrait aussi être l’essentiel, bref ce qui ne saurait être escamoté. L’urgence semble aujourd’hui de montrer qu’autre chose est possible, réalisable, en refusant à la fois la capitulation social-démocrate devant la loi d’airain du capitalisme financier et le délire incantatoire du discours « anticapitaliste ». Le « réalisme utopique » dont parlait Bourdieu ne se distingue ni par les fausses précisions du discours d’expert ni par des proclamations grandioses mais vagues : il consiste à chercher les points précis où peut se faire un basculement des rapports de force en faveur de la justice sociale, de la démocratie et de la maîtrise collective du futur. Être « radical » consiste à être simplement conséquent : c’est, après avoir pris connaissance des questions posées, chercher des réponses qui pourraient être à la hauteur de ces questions. En matière d’environnement ou en matière de marché financier, la réalité se charge de montrer que des idées autrefois considérées comme radicales, et donc exclues de l’horizon du pensable, ne sont pas aussi extravagantes qu’on avait bien voulu le dire.


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